C’est l'objectif du festival Cipsi/Chiama l’Africa’ : Allier coopération décentralisée et découverte du patrimoine culturel africain
Un festival international dédié à la coopération décentralisée et à la découverte du patrimoine historique et culturel africain se tiendra au Sénégal du 28 décembre au 10 janvier prochains, sous l’égide notamment d’associations et d’Ong italiennes, a appris l’Aps auprès des organisateurs de la manifestation.
Plus de 80 personnes en provenance d’Italie prendront part à cette manifestation intitulée ‘Festival international Cipsi/Chiama L’Africa’ (Fcca) et qui se déroulera dans les régions de Dakar, Ziguinchor, Sédhiou, Kolda et Tambacounda, ont précisé les initiateurs au cours d’une conférence de presse organisée samedi à Dakar.
Présenté comme ‘un outil novateur et fédérateur pour bâtir une communauté solidaire, prospère et diversifiée dans le respect de la dignité humaine’, ce festival est organisé sous l’égide de Cipsi et Chiama L’Africa, ‘deux associations italiennes engagées dans la coopération décentralisée et dans la promotion de la culture, de l’art et d’un tourisme responsable entre l’Europe et l’Afrique’, lit-on dans un dossier de presse remis aux journalistes.
En prélude à ce Festival international piloté en collaboration avec des citoyens sénégalais regroupés autour d’un Comité d’organisation des festivals, la Coordination d’initiatives populaires et de solidarité internationale (Cipsi) tiendra son assemblée annuelle du 28 au 30 décembre à Pikine, signale-t-on de même source.
Dans cette ville située dans la banlieue dakaroise, Chiama L’Africa (Fédération d’associations et d’Ong italiennes pour un nouveau pacte de solidarité internationale) contribue à un programme d’alphabétisation des jeunes filles et à la fourniture d’équipements scolaires à une école primaire (Ecole 8) et d’équipements de lutte contre le paludisme.
Selon les organisateurs, l’objectif premier de cette manifestation ‘est de permettre aux citoyens d’Afrique d’exprimer la diversité de leurs valeurs culturelles et d’exprimer leur droit à une plus grande justice sociale’.
Les participants à ce festival, qui va durer 15 jours environ, seront pendant tout ce temps appelés à discuter du thème général : ‘La découverte de l’Afrique dans sa profondeur à travers la musique, le griot traditionnel, mais aussi le renforcement de la coopération décentralisée’.
‘Il est clair, expliquent-ils, dans le document remis à la presse, que plus l’Afrique et l’Europe travailleront pour résoudre les grandes problématiques liées au développement, plus les peuples africains deviendront une communauté dynamique, prospère et vivante.’
Au-delà de la promotion du patrimoine culturel vivant des populations locales, le Fcca entend mettre l’accent sur les bonnes pratiques du tourisme durable, à travers cette manifestation qui va aussi servir de ‘contact direct avec les réalités africaines’, poursuit le texte.
‘La coopération, ce n’est pas de l’aide mais un dialogue, une rencontre avec des personnes’ et ‘un partenariat concret’ qui se nourrit de ‘réflexions communes’ sur les problèmes à aborder, a soutenu face à la presse Guido Barbera, président de Cipsi.
Selon M. Barbera qui est à la tête d’une Fédération de 47 associations italiennes engagées dans la coopération décentralisée, il y a ‘besoin’ de mener une réflexion sur ce point avec les pays d’Afrique. ‘Les pays développés, a-t-il indiqué, ont beaucoup à apprendre de l’histoire de l’Afrique’’.
‘Nous avons besoin de partir de l’histoire de l’Afrique pour donner à la politique mondiale la centralisé des droits humains et aboutir à une coopération basée sur les droits de l’homme, de la femme et de tous les êtres humains’, a insisté M. Barbera.
(Aps)
Plus de 80 personnes en provenance d’Italie prendront part à cette manifestation intitulée ‘Festival international Cipsi/Chiama L’Africa’ (Fcca) et qui se déroulera dans les régions de Dakar, Ziguinchor, Sédhiou, Kolda et Tambacounda, ont précisé les initiateurs au cours d’une conférence de presse organisée samedi à Dakar.
Présenté comme ‘un outil novateur et fédérateur pour bâtir une communauté solidaire, prospère et diversifiée dans le respect de la dignité humaine’, ce festival est organisé sous l’égide de Cipsi et Chiama L’Africa, ‘deux associations italiennes engagées dans la coopération décentralisée et dans la promotion de la culture, de l’art et d’un tourisme responsable entre l’Europe et l’Afrique’, lit-on dans un dossier de presse remis aux journalistes.
En prélude à ce Festival international piloté en collaboration avec des citoyens sénégalais regroupés autour d’un Comité d’organisation des festivals, la Coordination d’initiatives populaires et de solidarité internationale (Cipsi) tiendra son assemblée annuelle du 28 au 30 décembre à Pikine, signale-t-on de même source.
Dans cette ville située dans la banlieue dakaroise, Chiama L’Africa (Fédération d’associations et d’Ong italiennes pour un nouveau pacte de solidarité internationale) contribue à un programme d’alphabétisation des jeunes filles et à la fourniture d’équipements scolaires à une école primaire (Ecole 8) et d’équipements de lutte contre le paludisme.
Selon les organisateurs, l’objectif premier de cette manifestation ‘est de permettre aux citoyens d’Afrique d’exprimer la diversité de leurs valeurs culturelles et d’exprimer leur droit à une plus grande justice sociale’.
Les participants à ce festival, qui va durer 15 jours environ, seront pendant tout ce temps appelés à discuter du thème général : ‘La découverte de l’Afrique dans sa profondeur à travers la musique, le griot traditionnel, mais aussi le renforcement de la coopération décentralisée’.
‘Il est clair, expliquent-ils, dans le document remis à la presse, que plus l’Afrique et l’Europe travailleront pour résoudre les grandes problématiques liées au développement, plus les peuples africains deviendront une communauté dynamique, prospère et vivante.’
Au-delà de la promotion du patrimoine culturel vivant des populations locales, le Fcca entend mettre l’accent sur les bonnes pratiques du tourisme durable, à travers cette manifestation qui va aussi servir de ‘contact direct avec les réalités africaines’, poursuit le texte.
‘La coopération, ce n’est pas de l’aide mais un dialogue, une rencontre avec des personnes’ et ‘un partenariat concret’ qui se nourrit de ‘réflexions communes’ sur les problèmes à aborder, a soutenu face à la presse Guido Barbera, président de Cipsi.
Selon M. Barbera qui est à la tête d’une Fédération de 47 associations italiennes engagées dans la coopération décentralisée, il y a ‘besoin’ de mener une réflexion sur ce point avec les pays d’Afrique. ‘Les pays développés, a-t-il indiqué, ont beaucoup à apprendre de l’histoire de l’Afrique’’.
‘Nous avons besoin de partir de l’histoire de l’Afrique pour donner à la politique mondiale la centralisé des droits humains et aboutir à une coopération basée sur les droits de l’homme, de la femme et de tous les êtres humains’, a insisté M. Barbera.
(Aps)
