« AMBASSADEURS DE LA PAIX » : Le regard citoyen des jeunes de Yène
Après Yoff, Rufisque, Pikine, Sébikhotane et Ziguinchor, la communauté rurale de Yéne vient de s’enrichir d’une nouvelle cellule dénommée « Les ambassadeurs de la paix »
La cérémonie d’installation de la cellule, qui a eu pour cadre l’école élémentaire de Yène Kao, a été une occasion saisie par le coordonnateur départemental de Sébikhotane, M. Alassane Ciss, pour dresser la carte d’identité de cette association bénéficiant d’une large audience dans les pays anglophones. Devant de nombreux jeunes venus s’imprégner de la philosophie de paix dont sont porteurs les ambassadeurs, M. Ciss a indiqué que ce mouvement est « né d’un constat alarmant des dangers charriés par les guerres et fléaux qui secouent l’humanité ». Fidèle aux idéaux de paix et d’unité, socles d’un développement durable, le mouvement, explique Alassane Ciss, cherche à impliquer beaucoup de jeunes conscients de leur capacité à transformer leur milieu par des actions de haute portée citoyenne.
« Il s’agit de cultiver chez les enfants et les jeunes l’esprit de créativité et la prise de responsabilité pour les préparer à participer au développement de leur pays », a-t-il souligné.
Ce développement, a-t-il indiqué, passe d’abord par « des actions citoyennes à l’échelon local et la participation massive des jeunes. »
La nouvelle coordonnatrice de la cellule de Yène, Mme Fatou Bâ a émis le souhait de voir la cellule dont elle préside désormais aux destinées s’acquitter de sa mission dans cette localité constituée de plusieurs villages et qui présente certaines spécificités du fait de sa large ouverture sur la frange maritime. Selon elle, des efforts devront être consentis dans le domaine de la sensibilisation sur les dangers liés aux pêches intempestives, une menace pour les ressources halieutiques dans cette localité marquée par une forte population de pêcheurs. Optimiste quant à sa mission, elle espère que le message de la paix qu’elle porte en bandoulière, devrait aussi trouver un écho favorable auprès des associations sportives et autres mouvements d’opinions, étant donné que la violence, résultant « des animosités et ardeurs incontrôlées » s’invite lors des rencontres sportives dans cette localité de Yène.
Le Soleil
La cérémonie d’installation de la cellule, qui a eu pour cadre l’école élémentaire de Yène Kao, a été une occasion saisie par le coordonnateur départemental de Sébikhotane, M. Alassane Ciss, pour dresser la carte d’identité de cette association bénéficiant d’une large audience dans les pays anglophones. Devant de nombreux jeunes venus s’imprégner de la philosophie de paix dont sont porteurs les ambassadeurs, M. Ciss a indiqué que ce mouvement est « né d’un constat alarmant des dangers charriés par les guerres et fléaux qui secouent l’humanité ». Fidèle aux idéaux de paix et d’unité, socles d’un développement durable, le mouvement, explique Alassane Ciss, cherche à impliquer beaucoup de jeunes conscients de leur capacité à transformer leur milieu par des actions de haute portée citoyenne.
« Il s’agit de cultiver chez les enfants et les jeunes l’esprit de créativité et la prise de responsabilité pour les préparer à participer au développement de leur pays », a-t-il souligné.
Ce développement, a-t-il indiqué, passe d’abord par « des actions citoyennes à l’échelon local et la participation massive des jeunes. »
La nouvelle coordonnatrice de la cellule de Yène, Mme Fatou Bâ a émis le souhait de voir la cellule dont elle préside désormais aux destinées s’acquitter de sa mission dans cette localité constituée de plusieurs villages et qui présente certaines spécificités du fait de sa large ouverture sur la frange maritime. Selon elle, des efforts devront être consentis dans le domaine de la sensibilisation sur les dangers liés aux pêches intempestives, une menace pour les ressources halieutiques dans cette localité marquée par une forte population de pêcheurs. Optimiste quant à sa mission, elle espère que le message de la paix qu’elle porte en bandoulière, devrait aussi trouver un écho favorable auprès des associations sportives et autres mouvements d’opinions, étant donné que la violence, résultant « des animosités et ardeurs incontrôlées » s’invite lors des rencontres sportives dans cette localité de Yène.
Le Soleil
