Un atelier de restitution de la revue à mi-parcours, à la suite d’une mission d’évaluation du Projet de renforcement des capacités de responsabilité financière et de transparence (Precaref*), qui a eu lieu du 26 janvier au 4 février 2009, s’est tenu à Dakar et a donné l’occasion de présenter aux différents partenaires dudit projet les résultats obtenus, ainsi que les recommandations utiles.
En approuvant un don de 1.800.000 dollars des Etats-Unis pour une durée de 4 ans pour la mise en œuvre des activités du Precaref, la fondation a souhaité s’appuyer sur les efforts du gouvernement du Sénégal dans la mise en œuvre des réformes budgétaires et financières.
Par ces propos, le docteur Samba Kane, directeur des opérations de la Zone 3 (Afrique de l’Ouest et du Nord) -Acbf- a en outre précisé que le projet, qui a débuté en janvier de cette année, a pour but d’améliorer et de normaliser les pratiques, méthodes et procédures de vérification des institutions de contrôle externe, par le biais de l’adoption de normes modernes, la mise en place d’une formation adaptée et l’échange d’information.
Le Precaref a pour objectifs d’accroître les capacités institutionnelles et humaines de la Cour des comptes, de renforcer les capacités de la commission des Finances de l’Assemblée nationale et des services connexes et d’apporter un appui à la direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor.
Samba Kâ reste convaincu que la responsabilité et la transparence sont les piliers de la bonne gouvernance « qui obligent l’Etat, le secteur privé et la Société civile, à rester centrés sur les résultats, à définir des objectifs clairs, à concevoir des stratégies efficaces et à contrôler les performances pour en rendre compte ensuite ».
Pour Oumar Sylla, représentant le ministre de l’Economie, la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (Acbf), outre le coût (1,8 million de dollars), d’autres appuis sont attendus de l’Ue pour 930.000 dollars, de la Coopération française (300.000 dollars), du Pnud (570.000 dollars), d’autres bailleurs (907.000 dollars) et du Sénégal pour 680.000 dollars.
Il a aussi indiqué qu’à la date du 31 décembre 2008, cette commission dirigée par l’ancien Premier ministre de la République islamique de Mauritanie, M. Zeïne Ould Zeïdane, a rempli deux conditions, à hauteur de 50 % ».
Le Soleil
En approuvant un don de 1.800.000 dollars des Etats-Unis pour une durée de 4 ans pour la mise en œuvre des activités du Precaref, la fondation a souhaité s’appuyer sur les efforts du gouvernement du Sénégal dans la mise en œuvre des réformes budgétaires et financières.
Par ces propos, le docteur Samba Kane, directeur des opérations de la Zone 3 (Afrique de l’Ouest et du Nord) -Acbf- a en outre précisé que le projet, qui a débuté en janvier de cette année, a pour but d’améliorer et de normaliser les pratiques, méthodes et procédures de vérification des institutions de contrôle externe, par le biais de l’adoption de normes modernes, la mise en place d’une formation adaptée et l’échange d’information.
Le Precaref a pour objectifs d’accroître les capacités institutionnelles et humaines de la Cour des comptes, de renforcer les capacités de la commission des Finances de l’Assemblée nationale et des services connexes et d’apporter un appui à la direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor.
Samba Kâ reste convaincu que la responsabilité et la transparence sont les piliers de la bonne gouvernance « qui obligent l’Etat, le secteur privé et la Société civile, à rester centrés sur les résultats, à définir des objectifs clairs, à concevoir des stratégies efficaces et à contrôler les performances pour en rendre compte ensuite ».
Pour Oumar Sylla, représentant le ministre de l’Economie, la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (Acbf), outre le coût (1,8 million de dollars), d’autres appuis sont attendus de l’Ue pour 930.000 dollars, de la Coopération française (300.000 dollars), du Pnud (570.000 dollars), d’autres bailleurs (907.000 dollars) et du Sénégal pour 680.000 dollars.
Il a aussi indiqué qu’à la date du 31 décembre 2008, cette commission dirigée par l’ancien Premier ministre de la République islamique de Mauritanie, M. Zeïne Ould Zeïdane, a rempli deux conditions, à hauteur de 50 % ».
Le Soleil