Ce séminaire de trois jours permettra de renforcer les capacités des associations professionnelles de micro finance afin de dégager des stratégies de communication pour mieux canaliser les institutions de micro finance. Ayant comme slogan : « communiquer pour convaincre », cette rencontre poursuit un objectif précis à savoir construire une stratégie de communication pour les Associations professionnelles des institutions de micro finance (Apim) afin d’assurer la promotion des membres du réseau sous-régional auprès du public et des instances publiques. Ces assises devront aussi et surtout permettre d’élaborer un plan de communication pour une bonne visibilité des institutions de micro finance, à en croire le directeur de la micro finance, M. Tafsir Mbaye.
Ce dernier estime que l’importance de la micro finance n’est plus à démontrer au Sénégal qui se trouve être leader dans ce domaine par rapport aux autres pays de l’Uemoa. A cela, il ajoute que « nous sommes dans des pays à forte domination du secteur primaire d’où l’importance des institutions de micro finance qui viennent en aide aux populations qui n’ont pas accès au système financier classique ». C’est dans cette optique que le Directeur de cabinet du ministre de la culture et de la francophonie, Saliou Rama Kâ, a estimé que ce séminaire vient à son heure avec la démocratisation de l’accès au système financier qui est devenue une nécessité. A cet effet, il informe que l’Organisation internationale de la francophonie (Oif) est en train depuis deux ans d’appuyer les Institutions de micro finance en Afrique de l’ouest de manière générale dans le renforcement des capacités techniques et institutionnelles des associations professionnelles de micro finance.
C’est dans cette logique que Mamadou Touré, président de l’Association professionnelle des systèmes financiers décentralisés du Sénégal (Apsfd) met l’accent sur la nécessité d’une formation de qualité de tous les acteurs de la micro finance pour faire face aux besoins des populations les plus défavorisées. « Et cela ne peut se faire sans la mise en place de stratégies de communication efficace », a-t-il précisé. Cette rencontre de trois jours sera aussi un prétexte pour le Sénégal de partager son expérience en la matière avec les autres pays de la zone Uemoa, vu les énormes progrès réa
lisés dans le domaine de la micro finance avec 1,200 millions de déposants. Le souci majeur des organisateurs de ce séminaire est de former les Associations professionnelles de micro finance pour qu’elles puissent appuyer les populations pauvres non éligibles aux services financiers des institutions financières formelles, par un type de financement taillé sur mesure pour mener des activités lucratives permettant d’améliorer leurs revenues.
Sud Quotidien
Ce dernier estime que l’importance de la micro finance n’est plus à démontrer au Sénégal qui se trouve être leader dans ce domaine par rapport aux autres pays de l’Uemoa. A cela, il ajoute que « nous sommes dans des pays à forte domination du secteur primaire d’où l’importance des institutions de micro finance qui viennent en aide aux populations qui n’ont pas accès au système financier classique ». C’est dans cette optique que le Directeur de cabinet du ministre de la culture et de la francophonie, Saliou Rama Kâ, a estimé que ce séminaire vient à son heure avec la démocratisation de l’accès au système financier qui est devenue une nécessité. A cet effet, il informe que l’Organisation internationale de la francophonie (Oif) est en train depuis deux ans d’appuyer les Institutions de micro finance en Afrique de l’ouest de manière générale dans le renforcement des capacités techniques et institutionnelles des associations professionnelles de micro finance.
C’est dans cette logique que Mamadou Touré, président de l’Association professionnelle des systèmes financiers décentralisés du Sénégal (Apsfd) met l’accent sur la nécessité d’une formation de qualité de tous les acteurs de la micro finance pour faire face aux besoins des populations les plus défavorisées. « Et cela ne peut se faire sans la mise en place de stratégies de communication efficace », a-t-il précisé. Cette rencontre de trois jours sera aussi un prétexte pour le Sénégal de partager son expérience en la matière avec les autres pays de la zone Uemoa, vu les énormes progrès réa
lisés dans le domaine de la micro finance avec 1,200 millions de déposants. Le souci majeur des organisateurs de ce séminaire est de former les Associations professionnelles de micro finance pour qu’elles puissent appuyer les populations pauvres non éligibles aux services financiers des institutions financières formelles, par un type de financement taillé sur mesure pour mener des activités lucratives permettant d’améliorer leurs revenues.
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