
Un nouveau quartier de près de 1 000 logements, d’une conception radicalement différente des autres quartiers rémois, devrait surgir d’une friche industrielle de douze hectares en centre-ville, aujourd’hui propriété de RFF (réseau ferré de France) pour l’essentiel. « Il s’agit d’en faire un modèle de développement durable », explique Stéphane Joly, adjoint Verts au maire de Reims et vice-président de Reims-Métropole.
Orientation des bâtiments au sud, panneaux solaires, isolation maximale, géothermie, récupération d’eaux de pluie... Toute la panoplie de la Très haute qualité environnementale (THQE®) sera convoquée pour construire le quartier le plus économe possible en énergie et en rejet de gaz carbonique. « Les bâtiments ne consommeront en chauffage que 50 kW par an au lieu des 110 kW au maximum autorisés en ce moment », cite en exemple l’élu rémois. Avec six hectares d’espaces verts, dont une partie devrait servir de mur antibruit ferroviaire, le nouveau quartier imaginé par le cabinet d’architectes parisiens Nicolas Michelin et Associés se veut aussi un itinéraire de promenade entre deux autres quartiers rémois. Un vrai lieu de vie
Regroupés au sein d’une structure unique baptisée Foncière Développement, le Foyer rémois, l’Effort rémois et Immo’cop parient sur la mixité qui conjugue bureaux, commerces et logements, appartements et pavillons, location et accession à la propriété. « Nous réfléchissons à la création d’un lieu d’accueil pour les personnes âgées afin qu’elles puissent rester dans leur quartier. Nous voulons créer un vrai lieu de vie », explique Stéphane Joly. Dans cette perspective, il aimerait pouvoir garder la halle de la Sernam pour accueillir manifestations sportives ou culturelles. Le coût économique d’une telle idée fait d’autant plus débat que la construction durable reste 3 à 5 % plus chère qu’une construction traditionnelle. « Mais on gagne entre 15 et 30 % de charges », rassure l’adjoint, qui estime le retour sur investissement « de quatre à cinq ans ». Source : Les Echos du 24 octobre 2008
Sources:Ecollectivites.net
Regroupés au sein d’une structure unique baptisée Foncière Développement, le Foyer rémois, l’Effort rémois et Immo’cop parient sur la mixité qui conjugue bureaux, commerces et logements, appartements et pavillons, location et accession à la propriété. « Nous réfléchissons à la création d’un lieu d’accueil pour les personnes âgées afin qu’elles puissent rester dans leur quartier. Nous voulons créer un vrai lieu de vie », explique Stéphane Joly. Dans cette perspective, il aimerait pouvoir garder la halle de la Sernam pour accueillir manifestations sportives ou culturelles. Le coût économique d’une telle idée fait d’autant plus débat que la construction durable reste 3 à 5 % plus chère qu’une construction traditionnelle. « Mais on gagne entre 15 et 30 % de charges », rassure l’adjoint, qui estime le retour sur investissement « de quatre à cinq ans ». Source : Les Echos du 24 octobre 2008
Sources:Ecollectivites.net