Dans le cadre de la célébration de la journée nationale de l’industrialisation, dans la capitale du nord, les responsables du Programme de développement de l’entreprenariat régional (PDER) ont tenu un point de presse pour rappeler l’opérationnalisation de la politique de redéploiement industriel du gouvernement.
L’ambition de cette politique, selon Djibril Coulibaly, coordonnateur régional du PDER, serait de promouvoir au niveau régional un tissu industriel s’appuyant sur la valorisation des potentialités locales (naturelles et humaines).
Pendant deux ans, a-t-il poursuivi, ce projet, intervenant dans la région naturelle de Saint-Louis, a pu booster de manière discrète et décisive un entreprenariat performant avec des promoteurs locaux, des micro-entreprises, qui ont su profiter des formations, des mesures d’accompagnement technique, pour mettre sur pied des unités de production capables de créer de la valeur ajoutée et des emplois.
A cet effet, a précisé M. Coulibaly, les secteurs de l’élevage, de la pêche et de l’agriculture, ont été prioritairement ciblés, conformément au plan régional de développement intégré de la région de Saint-Louis. Une trentaine de micro-entreprises ont été accompagnées pour asseoir les bases d’une industrialisation régionale.
Le segment de la transformation a été privilégié. Les micro-entreprises de transformation halieutique et agropastorale ont été des réponses appropriées pour la création de richesses et d’emplois. Sur le portefeuille suivi par le PDER, une gamme de produits laitiers (lait caillé, fromage, beignets de lait, beurre de lait), halieutiques (le salé séché, la farine de poisson) et de produits à base agricole (mélasse, aliments de bétail et de volaille), a pu être mise sur le marché local, national et même international (Mauritanie). Ce potentiel de produits a permis des accroissements de chiffres d’affaires de l’ordre de 45 à 65 % entre 2004 et 2006. Du point de vue de la pertinence du projet, l’efficacité et l’efficience de l’intervention du PDER, se mesurent par l’optimisation de ses interventions à travers une bonne couverture géographique, la mise en relation entre les besoins d’appui et les prestataires.
Avec la coopération luxembourgeoise, dans le cadre du programme indicatif PIC2 2007/2011 avec le Sénégal, l’ONUDI, à travers le PDER, devra mettre en œuvre un programme important de dynamisation du tissu économique local des régions de Saint-Louis, Louga et Matam. Le point nodal de ce programme serait de contribuer à la résolution de la problématique de l’insertion des sortants de l’enseignement technique et de la formation professionnelle.
Le Soleil
L’ambition de cette politique, selon Djibril Coulibaly, coordonnateur régional du PDER, serait de promouvoir au niveau régional un tissu industriel s’appuyant sur la valorisation des potentialités locales (naturelles et humaines).
Pendant deux ans, a-t-il poursuivi, ce projet, intervenant dans la région naturelle de Saint-Louis, a pu booster de manière discrète et décisive un entreprenariat performant avec des promoteurs locaux, des micro-entreprises, qui ont su profiter des formations, des mesures d’accompagnement technique, pour mettre sur pied des unités de production capables de créer de la valeur ajoutée et des emplois.
A cet effet, a précisé M. Coulibaly, les secteurs de l’élevage, de la pêche et de l’agriculture, ont été prioritairement ciblés, conformément au plan régional de développement intégré de la région de Saint-Louis. Une trentaine de micro-entreprises ont été accompagnées pour asseoir les bases d’une industrialisation régionale.
Le segment de la transformation a été privilégié. Les micro-entreprises de transformation halieutique et agropastorale ont été des réponses appropriées pour la création de richesses et d’emplois. Sur le portefeuille suivi par le PDER, une gamme de produits laitiers (lait caillé, fromage, beignets de lait, beurre de lait), halieutiques (le salé séché, la farine de poisson) et de produits à base agricole (mélasse, aliments de bétail et de volaille), a pu être mise sur le marché local, national et même international (Mauritanie). Ce potentiel de produits a permis des accroissements de chiffres d’affaires de l’ordre de 45 à 65 % entre 2004 et 2006. Du point de vue de la pertinence du projet, l’efficacité et l’efficience de l’intervention du PDER, se mesurent par l’optimisation de ses interventions à travers une bonne couverture géographique, la mise en relation entre les besoins d’appui et les prestataires.
Avec la coopération luxembourgeoise, dans le cadre du programme indicatif PIC2 2007/2011 avec le Sénégal, l’ONUDI, à travers le PDER, devra mettre en œuvre un programme important de dynamisation du tissu économique local des régions de Saint-Louis, Louga et Matam. Le point nodal de ce programme serait de contribuer à la résolution de la problématique de l’insertion des sortants de l’enseignement technique et de la formation professionnelle.
Le Soleil