Depuis que la mission d’élaborer et de mettre en place une stratégie de coopération dans les pays d’Afrique, des Caraïbes, et du Pacifique (ACP) est confiée aux acteurs non étatiques à la sortie des accords de Cotonou, les différents partenaires réunis autour de ce programme spécifique, cherchent toujours à mobiliser l’ensemble de leurs efforts sur les capacités d’intervention et de négociation, les compétences afin de favoriser la crédibilité de la participation des acteurs non étatiques dans la vie publique.
Ainsi après plusieurs activités déroulées un peu partout à travers le territoire national, le programme de formation des acteurs est aujourd’hui dans sa phase pratique et il convient pour la structure dirigeante de mettre en place des organisations plus pertinentes, plus performantes, imbibées d’acteurs capables de les gérer, d’élaborer eux-mêmes leurs projets et surtout de prendre en charge leur propre destinée. Même si l’on reste encore persuadé que le secteur non étatique ne pourra nullement prospérer sans le concours de ses partenaires nationaux et internationaux, il faut aussi ajouter que l’unité de gestion du programme s’achemine ce moment même vers la mise en place d’organisations dont la survie ne dépendra plus que de l’état ou des partenaires étrangers, mais des organisations aussi.
Ainsi en marge de la formation proprement dite et l’offrande d’outils nécessaires pour la gestion des associations et autres organisations, la rencontre est aussi destinée à faire le recensement des contraintes et des besoins survenant régulièrement au sein des structures de la base. C’est en effet un moyen d’apporter des correctifs, des solutions, mais également des propositions afin que chaque organisation dispose du maximum d’atouts qui lui permettra de jouer pleinement son rôle dans le développement en général.
Cependant avec cette nouvelle expérience nous renseigne Djiby Kâ, un des formateurs, envoyé par l’unité de gestion du programme, « les organisations auront le privilège d’alimenter la réflexion et les échanges au moment de flottement intercalé entre la fin de ce 9e FED et le démarrage du 10e FED. Mais avant d’en arriver là, nous aurons certainement des acteurs prêts à assurer la continuité des activités sur le terrain ».
Pour Mme Ndiaye, Ndèye Gnilane Faye, de la plate forme de Kaolack « cet atelier a aussi la vocation de préparer des acteurs capables de fournir des propositions partout dans les instances, à l’endroit de n’importe quel partenaire et développer les secteurs d’activités à partir de leurs propres efforts et la pertinence de leur savoir-faire, car nous savons que cela est possible et nous allons dans ce sens » a-t-elle poursuivi. Il faut surtout ajouté que la formation est aussi élargie dans la plupart des régions du pays, car le défi qui est à relever dans tout cela est de disposer de bonnes organisations d’acteurs non étatiques avant les trois (3) mois à venir
Sud Quotidien
Ainsi après plusieurs activités déroulées un peu partout à travers le territoire national, le programme de formation des acteurs est aujourd’hui dans sa phase pratique et il convient pour la structure dirigeante de mettre en place des organisations plus pertinentes, plus performantes, imbibées d’acteurs capables de les gérer, d’élaborer eux-mêmes leurs projets et surtout de prendre en charge leur propre destinée. Même si l’on reste encore persuadé que le secteur non étatique ne pourra nullement prospérer sans le concours de ses partenaires nationaux et internationaux, il faut aussi ajouter que l’unité de gestion du programme s’achemine ce moment même vers la mise en place d’organisations dont la survie ne dépendra plus que de l’état ou des partenaires étrangers, mais des organisations aussi.
Ainsi en marge de la formation proprement dite et l’offrande d’outils nécessaires pour la gestion des associations et autres organisations, la rencontre est aussi destinée à faire le recensement des contraintes et des besoins survenant régulièrement au sein des structures de la base. C’est en effet un moyen d’apporter des correctifs, des solutions, mais également des propositions afin que chaque organisation dispose du maximum d’atouts qui lui permettra de jouer pleinement son rôle dans le développement en général.
Cependant avec cette nouvelle expérience nous renseigne Djiby Kâ, un des formateurs, envoyé par l’unité de gestion du programme, « les organisations auront le privilège d’alimenter la réflexion et les échanges au moment de flottement intercalé entre la fin de ce 9e FED et le démarrage du 10e FED. Mais avant d’en arriver là, nous aurons certainement des acteurs prêts à assurer la continuité des activités sur le terrain ».
Pour Mme Ndiaye, Ndèye Gnilane Faye, de la plate forme de Kaolack « cet atelier a aussi la vocation de préparer des acteurs capables de fournir des propositions partout dans les instances, à l’endroit de n’importe quel partenaire et développer les secteurs d’activités à partir de leurs propres efforts et la pertinence de leur savoir-faire, car nous savons que cela est possible et nous allons dans ce sens » a-t-elle poursuivi. Il faut surtout ajouté que la formation est aussi élargie dans la plupart des régions du pays, car le défi qui est à relever dans tout cela est de disposer de bonnes organisations d’acteurs non étatiques avant les trois (3) mois à venir
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