Quel est l’objectif de cette séance avec les journalistes ?
Ces deux journées d’information pour la presse s’inscrivent dans le cadre du plan de communication du secteur de la microfinance que le Pamif a pu mettre en œuvre. C’est un plan qui est porté par les trois acteurs institutionnels du secteur à savoir la direction de la microfinance, la direction de la régulation et de la supervision des Sfd, mais aussi l’Association professionnelle des systèmes financiers décentralisés. Il s’agissait de briser un « paradoxe » parce que malgré l’approche de proximité géographique, l’identité sociale du secteur de la microfinance, il est encore un secteur assez peu connu. Il s’agissait de donner la bonne information sur la microfinance comme système de financement, sur le secteur de la microfinance au Sénégal, ses enjeux, ses réalisations et son plan d’action dans la lettre de politique sectorielle. In fine, on souhaite aussi mettre en place, un réseau de journalistes sur la microfinance.
Quelle est la mission et les attributions du Pamif ?
Le Programme d’appui à la microfinanace (Pamif) est une des contributions à la lettre de politique sectorielle du secteur de la microfinance. Il est composé de deux volets : le volet1 qui appuie les institutions et acteurs du secteur en renforçant leurs capacités et en leur donnant les moyens d’intervention. A travers ce volet, on va mettre en place une base de données sectorielles cartographie et financière, qui va faciliter la prise de décision, une maîtrise sur la répartition géographique des Institutions de microfinance (Imf) au niveau du Sénégal. Nous allons appuyer aussi un centre de ressources de documentation qui va constituer un peu un centre d’informations. Il sera constitué d’une bibliothèque physique mais aussi d’un centre multimédias pour faciliter l’accès à l’information sur les Imf. Et aussi, dans le plan de communication qu’on est entrain de mettre en œuvre qui doit permettre de donner l’information au grand public sur le secteur de la microfinance. Maintenant, il y a le volet deux du Pamif va démarrer très bientôt au mois d’avril. C’est un volet qui va appuyer les systèmes financiers décentralisés qui sont dans les régions de Fatick, de Kaolack, de Diourbel et de Kaffrine. Il s’agit de faciliter l’accès au crédit des populations de ces quatre régions à travers l’appui à l’extension, amener les Systèmes financiers décentralisés à s’installer en milieu rural, mettre en place une ligne de crédit pour renforcer leur capacité financière. Mais aussi renforcer leur capacité institutionnelle en termes de système d’information de gestion, de formation, de raiting, de certification, entre autres. Il y a tout un paquet d’instruments qu’on va apporter aux Imf dans ces régions.
Quelle est la finalité de l’appui que vous apportez aux Imf ?
L’objectif du Pamif c’est de lutter contre la pauvreté à travers la facilitation de l’accès au crédit. Les populations rurales n’ont pas souvent cette possibilité et nous, on va leur apporter cet appui là en vue de leurs activités génératrices de revenus. Maintenant, on cible vraiment les populations rurales parce que c’est là où les Imf sont les moins présentes. On va pousser les Imf à s’implanter en milieu rural et à offrir des produits qui sont vraiment adaptés aux besoins des populations.
Pourquoi le choix porté seulement sur Diourbel, Kaolack, Kaffrine et Fatick ?
Il y a deux soucis. D’abord, il y a la déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide qui a demandé aux bailleurs de fonds d’être efficaces dans leur appui. Donc au Sénégal, le Royaume de Belgique a choisi ces quatre régions comme zone de concentration. L’autre raison de ce choix c’est que la coopération Belge a une approche sectorielle dans ses interventions. Dans ces quatre régions, on a toutes les interventions de la coopération Belge. Il y a les projets sur l’assainissement, l’hydraulique, la santé, la formation professionnelle. L’idée, c’est qu’à travers une approche sectorielle, on puisse avoir une synergie entre les formes d’intervention.
Sud Quotidien
Ces deux journées d’information pour la presse s’inscrivent dans le cadre du plan de communication du secteur de la microfinance que le Pamif a pu mettre en œuvre. C’est un plan qui est porté par les trois acteurs institutionnels du secteur à savoir la direction de la microfinance, la direction de la régulation et de la supervision des Sfd, mais aussi l’Association professionnelle des systèmes financiers décentralisés. Il s’agissait de briser un « paradoxe » parce que malgré l’approche de proximité géographique, l’identité sociale du secteur de la microfinance, il est encore un secteur assez peu connu. Il s’agissait de donner la bonne information sur la microfinance comme système de financement, sur le secteur de la microfinance au Sénégal, ses enjeux, ses réalisations et son plan d’action dans la lettre de politique sectorielle. In fine, on souhaite aussi mettre en place, un réseau de journalistes sur la microfinance.
Quelle est la mission et les attributions du Pamif ?
Le Programme d’appui à la microfinanace (Pamif) est une des contributions à la lettre de politique sectorielle du secteur de la microfinance. Il est composé de deux volets : le volet1 qui appuie les institutions et acteurs du secteur en renforçant leurs capacités et en leur donnant les moyens d’intervention. A travers ce volet, on va mettre en place une base de données sectorielles cartographie et financière, qui va faciliter la prise de décision, une maîtrise sur la répartition géographique des Institutions de microfinance (Imf) au niveau du Sénégal. Nous allons appuyer aussi un centre de ressources de documentation qui va constituer un peu un centre d’informations. Il sera constitué d’une bibliothèque physique mais aussi d’un centre multimédias pour faciliter l’accès à l’information sur les Imf. Et aussi, dans le plan de communication qu’on est entrain de mettre en œuvre qui doit permettre de donner l’information au grand public sur le secteur de la microfinance. Maintenant, il y a le volet deux du Pamif va démarrer très bientôt au mois d’avril. C’est un volet qui va appuyer les systèmes financiers décentralisés qui sont dans les régions de Fatick, de Kaolack, de Diourbel et de Kaffrine. Il s’agit de faciliter l’accès au crédit des populations de ces quatre régions à travers l’appui à l’extension, amener les Systèmes financiers décentralisés à s’installer en milieu rural, mettre en place une ligne de crédit pour renforcer leur capacité financière. Mais aussi renforcer leur capacité institutionnelle en termes de système d’information de gestion, de formation, de raiting, de certification, entre autres. Il y a tout un paquet d’instruments qu’on va apporter aux Imf dans ces régions.
Quelle est la finalité de l’appui que vous apportez aux Imf ?
L’objectif du Pamif c’est de lutter contre la pauvreté à travers la facilitation de l’accès au crédit. Les populations rurales n’ont pas souvent cette possibilité et nous, on va leur apporter cet appui là en vue de leurs activités génératrices de revenus. Maintenant, on cible vraiment les populations rurales parce que c’est là où les Imf sont les moins présentes. On va pousser les Imf à s’implanter en milieu rural et à offrir des produits qui sont vraiment adaptés aux besoins des populations.
Pourquoi le choix porté seulement sur Diourbel, Kaolack, Kaffrine et Fatick ?
Il y a deux soucis. D’abord, il y a la déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide qui a demandé aux bailleurs de fonds d’être efficaces dans leur appui. Donc au Sénégal, le Royaume de Belgique a choisi ces quatre régions comme zone de concentration. L’autre raison de ce choix c’est que la coopération Belge a une approche sectorielle dans ses interventions. Dans ces quatre régions, on a toutes les interventions de la coopération Belge. Il y a les projets sur l’assainissement, l’hydraulique, la santé, la formation professionnelle. L’idée, c’est qu’à travers une approche sectorielle, on puisse avoir une synergie entre les formes d’intervention.
Sud Quotidien