L’Etat se fera l’avocat des femmes commerçantes qui luttent pour la diminution des taux d’intérêt dans l’octroi de prêts par les institutions de microcrédit. C’est l’assurance donnée par le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye au terme de sa rencontre avec le bureau de l’Afepes.
Les femmes sénégalaises, qui s’activent dans le domaine du microcrédit, peuvent espérer des allégements dans les taux d’intérêt fixés par les institutions. C’est du moins la conviction du Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye qui a soutenu que son gouvernement fera tout dans ce sens. « Le gouvernement va tout faire pour que les institutions de microcrédit puissent appliquer à ces femmes des taux d’intérêt qui puissent leur permettre de faire du commerce et de rembourser », a dit, lundi, le chef du gouvernement au terme de sa rencontre avec le bureau de l’Association des femmes pour la promotion de l’entreprenariat sénégalais (Afepes).
Cela a été une réponse du chef du gouvernement à une préoccupation de cette structure qui considère que les taux d’intérêt, fixés aux femmes commerçantes, sont « trop élevés ».
Toutefois, a expliqué le Premier ministre, « ces institutions de microcrédit sont obligées de fixer un certain taux pour espérer continuer à fonctionner ». La participation de ces femmes aux foires a aussi été passée au peigne fin durant cette rencontre. Et selon le chef du gouvernement, si ces femmes commerçantes rencontrent autant de difficultés lors de ces rencontres commerciales, c’est parce qu’elles ne disposent pas de la documentation nécessaire et n’ont pas toujours le calendrier de ces foires. Les femmes de l’Afepes l’ont d’ailleurs appris à leurs dépens au Mali et ont été contraintes à payer des droits de douanes « assez élevés » avant que leurs marchandises ne soient libérées. Le gouvernement, en ce qui le concerne, a promis d’examiner toutes ces questions liées au microcrédit et à la participation aux foires des femmes commerçantes. C’est pourquoi, rendez-vous est donné à l’Afepes dans six mois.
Maguette NDONG
Le Soleil
Les femmes sénégalaises, qui s’activent dans le domaine du microcrédit, peuvent espérer des allégements dans les taux d’intérêt fixés par les institutions. C’est du moins la conviction du Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye qui a soutenu que son gouvernement fera tout dans ce sens. « Le gouvernement va tout faire pour que les institutions de microcrédit puissent appliquer à ces femmes des taux d’intérêt qui puissent leur permettre de faire du commerce et de rembourser », a dit, lundi, le chef du gouvernement au terme de sa rencontre avec le bureau de l’Association des femmes pour la promotion de l’entreprenariat sénégalais (Afepes).
Cela a été une réponse du chef du gouvernement à une préoccupation de cette structure qui considère que les taux d’intérêt, fixés aux femmes commerçantes, sont « trop élevés ».
Toutefois, a expliqué le Premier ministre, « ces institutions de microcrédit sont obligées de fixer un certain taux pour espérer continuer à fonctionner ». La participation de ces femmes aux foires a aussi été passée au peigne fin durant cette rencontre. Et selon le chef du gouvernement, si ces femmes commerçantes rencontrent autant de difficultés lors de ces rencontres commerciales, c’est parce qu’elles ne disposent pas de la documentation nécessaire et n’ont pas toujours le calendrier de ces foires. Les femmes de l’Afepes l’ont d’ailleurs appris à leurs dépens au Mali et ont été contraintes à payer des droits de douanes « assez élevés » avant que leurs marchandises ne soient libérées. Le gouvernement, en ce qui le concerne, a promis d’examiner toutes ces questions liées au microcrédit et à la participation aux foires des femmes commerçantes. C’est pourquoi, rendez-vous est donné à l’Afepes dans six mois.
Maguette NDONG
Le Soleil