Le secteur de la microfinance vient de s’enrichir d’une nouvelle société de crédit dénommé « Birima ». Initié par Youssou Ndour avec un projet qu’il a porté sur les fonts baptismaux le 10 juin 2007, « Birima » pose sa pierre à l’édifice de la recherche effrainée de ressources financières au bénéfice des petites et moyennes entreprises, des artisans, des professionnels et des artistes. Une option qui, selon Youssou Ndour, va leur permettre de lancer et de développer leurs activités en toute autonomie.
Ce projet d’un fonds initial de 200 millions de FCfa entre dans le cadre d’une campagne mondiale (Africa Works) qui a été lancée en présence de plus d’une centaine de journalistes venus du monde entier. Un projet promu par le groupe Benetton qui apporte un soutien économique. Selon Alessandro Benetton, vice président exécutif du groupe portant le même nom, « nous avons décidé de soutenir et de promouvoir ce projet important parce que, par rapport aux actions traditionnelles de solidarité, celle-ci soutient concrètement les petites entreprises locales grâce à des financements utiles de micro crédit ».
Pour Alessandro Benetton, c’est un projet qui, parce qu’il s’appuie sur les capacités entrepreneuriales, l’engagement dans le travail, l’optimisme et l’intérêt pour l’avenir, « mise fortement sur la promotion du nouveau visage de l’Afrique ». Youssou Ndour de son côté, postule que « mon expérience diecte m’a permis de comprendre qu’un prêt, même d’un tout petit montant, est une manière efficace de lutter contre la pauvreté, s’il est destiné à développer une idée, à réaliser un projet ». après avoir rappelé la valeur du microcrédit, Youssou Ndour a tenu à rappeler que « l’Afrique ne demande pas la charité, mais des fonds remboursables à des taux d’intérêt avantageux ».
Sur cette lancée, le Président directeur général du Groupe Futur Médias, a lancé un appel aux institutions financières internationales pour qu’elles viennent en aide aux structures de microfinance pour mieux contribuer à la lutte contre la pauvreté. Le projet compte ainsi faire mieux que ce qui existe sur la place. Le projet porte le nom de Birima qui, selon les initiateurs, est le nom d’un roi légendaire du Sénégal, qui ne s’adresse qu’une fois par an à ses sujets, et qui est devenu le symbole de la valeur de la parole donnée, d’un code moral qui rappelle le principe essentiel de la société. Ce qui fait que « le demandeur de crédit ne doit fournir aucune autre garantie que sa parole et la responsabilité de sa famille ».
Sud Quotidien
Ce projet d’un fonds initial de 200 millions de FCfa entre dans le cadre d’une campagne mondiale (Africa Works) qui a été lancée en présence de plus d’une centaine de journalistes venus du monde entier. Un projet promu par le groupe Benetton qui apporte un soutien économique. Selon Alessandro Benetton, vice président exécutif du groupe portant le même nom, « nous avons décidé de soutenir et de promouvoir ce projet important parce que, par rapport aux actions traditionnelles de solidarité, celle-ci soutient concrètement les petites entreprises locales grâce à des financements utiles de micro crédit ».
Pour Alessandro Benetton, c’est un projet qui, parce qu’il s’appuie sur les capacités entrepreneuriales, l’engagement dans le travail, l’optimisme et l’intérêt pour l’avenir, « mise fortement sur la promotion du nouveau visage de l’Afrique ». Youssou Ndour de son côté, postule que « mon expérience diecte m’a permis de comprendre qu’un prêt, même d’un tout petit montant, est une manière efficace de lutter contre la pauvreté, s’il est destiné à développer une idée, à réaliser un projet ». après avoir rappelé la valeur du microcrédit, Youssou Ndour a tenu à rappeler que « l’Afrique ne demande pas la charité, mais des fonds remboursables à des taux d’intérêt avantageux ».
Sur cette lancée, le Président directeur général du Groupe Futur Médias, a lancé un appel aux institutions financières internationales pour qu’elles viennent en aide aux structures de microfinance pour mieux contribuer à la lutte contre la pauvreté. Le projet compte ainsi faire mieux que ce qui existe sur la place. Le projet porte le nom de Birima qui, selon les initiateurs, est le nom d’un roi légendaire du Sénégal, qui ne s’adresse qu’une fois par an à ses sujets, et qui est devenu le symbole de la valeur de la parole donnée, d’un code moral qui rappelle le principe essentiel de la société. Ce qui fait que « le demandeur de crédit ne doit fournir aucune autre garantie que sa parole et la responsabilité de sa famille ».
Sud Quotidien