Le concept de la Responsabilité sociale et sociétale de l’entreprise (Rse) renvoie à la notion de Bonne gouvernance, ce qui en fait un thème d’actualité qui a fait l’objet, à Dakar, d’un atelier du Forum francophone des dirigeants et cadres d’entreprises.
« Il faut savoir que dans quelques années, les entreprises qui sont inscrites dans la Rse auront un avantage concurrentiel important », pense Philippe Barry, coordonnateur du réseau « Rse-Sénégal ».
Le Forum francophone des dirigeants et cadres d’entreprises sur le partage des bonnes pratiques en matière de responsabilité sociale d’entreprise, qui s’est ouvert hier, s’inscrit dans la perspective de doter les entreprises sénégalaises de capacités réelles de contribuer au développement durable.
Conçu sur la base d’une approche public-privé, avec l’appui de l’ambassade du Canada et du ministère de la Culture, du Patrimoine historique classé, des Langues nationales et de la Francophonie, le Forum se veut un cadre d’échange, mais aussi de sensibilisation sur la Rse que le coordonnateur du réseau sénégalais a défini comme un engagement à respecter un ensemble de principes qui dépassent les limites légales et réglementaires. « Il s’agit d’un processus d’amélioration dans le cadre duquel, selon M. Barry, les entreprises doivent, sous un aspect volontaire systématique et cohérent, essayer d’intégrer des considérations sociales, sociétales, environnementales et économiques ».
Le Forum fait partie des actions de suivi du 12e sommet de la Francophonie du mois d’octobre 2008 à Québec lequel avait recommandé aux pays francophones et en particulier à ceux d’Afrique de l’Ouest, de vulgariser la Rse en tant qu’instrument de bonne gouvernance économique, afin de mieux s’orienter vers l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement.
Dans son ambition, le réseau national peut certainement compter sur un important partenaire qu’est le Canada. D’ailleurs, l’ambassadeur Jean-Pierre Bolduc s’est dit convaincu que les entreprises de son pays peuvent grandement contribuer au développement durable en adoptant un comportement socialement responsable dans les pays où elles sont établies.
Le Soleil
« Il faut savoir que dans quelques années, les entreprises qui sont inscrites dans la Rse auront un avantage concurrentiel important », pense Philippe Barry, coordonnateur du réseau « Rse-Sénégal ».
Le Forum francophone des dirigeants et cadres d’entreprises sur le partage des bonnes pratiques en matière de responsabilité sociale d’entreprise, qui s’est ouvert hier, s’inscrit dans la perspective de doter les entreprises sénégalaises de capacités réelles de contribuer au développement durable.
Conçu sur la base d’une approche public-privé, avec l’appui de l’ambassade du Canada et du ministère de la Culture, du Patrimoine historique classé, des Langues nationales et de la Francophonie, le Forum se veut un cadre d’échange, mais aussi de sensibilisation sur la Rse que le coordonnateur du réseau sénégalais a défini comme un engagement à respecter un ensemble de principes qui dépassent les limites légales et réglementaires. « Il s’agit d’un processus d’amélioration dans le cadre duquel, selon M. Barry, les entreprises doivent, sous un aspect volontaire systématique et cohérent, essayer d’intégrer des considérations sociales, sociétales, environnementales et économiques ».
Le Forum fait partie des actions de suivi du 12e sommet de la Francophonie du mois d’octobre 2008 à Québec lequel avait recommandé aux pays francophones et en particulier à ceux d’Afrique de l’Ouest, de vulgariser la Rse en tant qu’instrument de bonne gouvernance économique, afin de mieux s’orienter vers l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement.
Dans son ambition, le réseau national peut certainement compter sur un important partenaire qu’est le Canada. D’ailleurs, l’ambassadeur Jean-Pierre Bolduc s’est dit convaincu que les entreprises de son pays peuvent grandement contribuer au développement durable en adoptant un comportement socialement responsable dans les pays où elles sont établies.
Le Soleil