Saly-Portudal (Mbour), 1er (APS) – Le ministre sénégalais en charge de la Promotion de la bonne gouvernance, Abou Latif Coulibaly, a annoncé, vendredi, à Saly-Portudal, la tenue prochaine d’une table-ronde avec les partenaires techniques et financiers du Sénégal, sur le financement de la Stratégie nationale de bonne gouvernance (SNBG).
Il s’agit de voir dans quelle mesure ils pourront accompagner le processus de sa mise en œuvre, a-t-il précisé, en procédant à la clôture officielle des travaux de l’atelier d’élaboration du document de Stratégie nationale de bonne gouvernance.
Cet atelier s’est tenu du 27 février au 1-er mars à Saly-Portudal, dans le département de Mbour, avec le soutien de l’Agence des Etats-Unis d’Amérique pour le développement international (USAID).
‘’Ça a été une chose d’élaborer et de valider un document de stratégie de bonne gouvernance, c’en est une autre de le réaliser et de l’appliquer sur le terrain’’, a déclaré M. Coulibaly, également porte-parole du gouvernement.
Selon lui, l’Etat du Sénégal n’ayant pas tous les moyens de financer ce document, la table-ronde est ‘’le moment de discuter avec nos partenaires, en leur disant +voilà ce que nous voulons faire+’’.
L’objectif de l’atelier de trois jours, a-t-il rappelé, était de préparer ce document de base, qui devra permettre à l’Etat du Sénégal de conduire ‘’une politique de gouvernance vertueuse’’, comme le veut le président de la République, Macky Sall.
‘’Nous avons ainsi défini un diagnostic précis par rapport aux contraintes de type sociologique, économique, social, etc. que génère la bonne gouvernance au Sénégal. Il nous fallait définir un cadre logique qui détermine dans quelles conditions on peut engager une nouvelle orientation politique de bonne gouvernance au Sénégal’’, a-t-il expliqué.
‘’Nous avons aussi des actions combinées dans un document global qui sera validé par les acteurs présents à cet atelier, mais aussi par d’autres experts. A la suite de cela, le gouvernement sénégalais peut dire qu’il a élaboré un document de stratégie de la gouvernance, soit trois ans pour le moyen terme et cinq ans pour le long terme’’, a-t-il expliqué.
Il s’agit de voir dans quelle mesure ils pourront accompagner le processus de sa mise en œuvre, a-t-il précisé, en procédant à la clôture officielle des travaux de l’atelier d’élaboration du document de Stratégie nationale de bonne gouvernance.
Cet atelier s’est tenu du 27 février au 1-er mars à Saly-Portudal, dans le département de Mbour, avec le soutien de l’Agence des Etats-Unis d’Amérique pour le développement international (USAID).
‘’Ça a été une chose d’élaborer et de valider un document de stratégie de bonne gouvernance, c’en est une autre de le réaliser et de l’appliquer sur le terrain’’, a déclaré M. Coulibaly, également porte-parole du gouvernement.
Selon lui, l’Etat du Sénégal n’ayant pas tous les moyens de financer ce document, la table-ronde est ‘’le moment de discuter avec nos partenaires, en leur disant +voilà ce que nous voulons faire+’’.
L’objectif de l’atelier de trois jours, a-t-il rappelé, était de préparer ce document de base, qui devra permettre à l’Etat du Sénégal de conduire ‘’une politique de gouvernance vertueuse’’, comme le veut le président de la République, Macky Sall.
‘’Nous avons ainsi défini un diagnostic précis par rapport aux contraintes de type sociologique, économique, social, etc. que génère la bonne gouvernance au Sénégal. Il nous fallait définir un cadre logique qui détermine dans quelles conditions on peut engager une nouvelle orientation politique de bonne gouvernance au Sénégal’’, a-t-il expliqué.
‘’Nous avons aussi des actions combinées dans un document global qui sera validé par les acteurs présents à cet atelier, mais aussi par d’autres experts. A la suite de cela, le gouvernement sénégalais peut dire qu’il a élaboré un document de stratégie de la gouvernance, soit trois ans pour le moyen terme et cinq ans pour le long terme’’, a-t-il expliqué.
De l’avis de Dominique Dellicour, chef de la Délégation de l’Union européenne (UE) au Sénégal, tous les secteurs de l’économie sénégalaise sont concernés par les questions de gouvernance.
‘’Ce sont les Sénégalais eux-mêmes qui doivent définir les priorités sur lesquelles une action collective doit être impérativement menée. C’est à eux aussi de définir quels sont les problèmes auxquels le Sénégal doit faire face aujourd’hui et qui ont plus d’impact sur leur vie quotidienne’’, a indiqué Mme Dellicour.
Selon elle, les questions de gouvernance doivent être abordées concernant des sujets comme l’énergie, les services de base à fournir aux citoyens, notamment l’éducation, l’eau et la santé.
ADE/ASG
‘’Ce sont les Sénégalais eux-mêmes qui doivent définir les priorités sur lesquelles une action collective doit être impérativement menée. C’est à eux aussi de définir quels sont les problèmes auxquels le Sénégal doit faire face aujourd’hui et qui ont plus d’impact sur leur vie quotidienne’’, a indiqué Mme Dellicour.
Selon elle, les questions de gouvernance doivent être abordées concernant des sujets comme l’énergie, les services de base à fournir aux citoyens, notamment l’éducation, l’eau et la santé.
ADE/ASG