Les femmes africaines veulent prendre en main leur santé et leur bien-être. En effet au stade actuel de la féminisation de la pandémie du Sida, des nombreuses violences qui leur sont faites et au taux élevé de la mortalité maternelle et infantile, ces dernières veulent être au devant de la scène pour faire face à leur vulnérabilité.
Une situation qui trouve ses origines, selon leur constat, dans les désavantages sociaux, politiques et économiques qui découlent de leur analphabétisme et de leur faible pouvoir d’achat. Pour faire face à toutes ces difficultés le Conseil Economique et Social des Nations-Unies (Ecosoc), en partenariat avec le Ministère de la Famille de la Sécurité alimentaire de l’Entreprenariat féminin de la Micro finance et de la Petite enfance tient à Dakar depuis hier mardi une rencontre régionale sur l’accès des femmes aux services de santé et aux initiatives visant à promouvoir l’équité et l’égalité des Genres.
Cette rencontre de deux jours (12 au 13 janvier) devra permettre de poser des débats sur la question afin d’améliorer la santé des femmes, avec le renforcement et la coordination des politiques dans différents domaines et établir des liens entre les politiques de santé publique et les autres politiques économiques et sociales.. Toutes choses qui, selon Sylvie Lucas, la Représentante permanente du Luxembourg auprès de l’Organisation des Nations Unies, participera à « réduire les inégalités entre les sexes qui aggravent le mauvais état de santé des femmes ».
A l’en croire, « les femmes ont à affronter des problèmes de santé beaucoup plus lourds que les hommes parce qu’elles ne jouissent pas de la même liberté de prendre des décisions ». Et d’ajouter « ce qui limite à la fois l’expression de leurs opinions … » ce qui contribue à accroître leur pauvreté et leur marginalisation.
Pour Ndèye Khady Diop, ministre de la Famille de la Sécurité alimentaire de l’Entreprenariat féminin de la Micro finance et de la Petite enfance, « Le Sénégal est connu pour son engagement résolu dans la lutte contre les inégalités entre les sexes et pour l’optimisation de la contribution de la femme dans l’éclosion des transformations qualitatives au sein de la société ». Elle dira que « des résultats appréciables ont été obtenus avec notamment une baisse substantielle de la mortalité maternelle avec une amélioration générale de la santé de la femme et de la jeune fille ». Il est à noter que la rencontre entre dans le cadre de la préparation de la rencontre sur la promotion du statut de la Femme qui se tiendra à New York en Juillet 2010
Sud Quotidien
Une situation qui trouve ses origines, selon leur constat, dans les désavantages sociaux, politiques et économiques qui découlent de leur analphabétisme et de leur faible pouvoir d’achat. Pour faire face à toutes ces difficultés le Conseil Economique et Social des Nations-Unies (Ecosoc), en partenariat avec le Ministère de la Famille de la Sécurité alimentaire de l’Entreprenariat féminin de la Micro finance et de la Petite enfance tient à Dakar depuis hier mardi une rencontre régionale sur l’accès des femmes aux services de santé et aux initiatives visant à promouvoir l’équité et l’égalité des Genres.
Cette rencontre de deux jours (12 au 13 janvier) devra permettre de poser des débats sur la question afin d’améliorer la santé des femmes, avec le renforcement et la coordination des politiques dans différents domaines et établir des liens entre les politiques de santé publique et les autres politiques économiques et sociales.. Toutes choses qui, selon Sylvie Lucas, la Représentante permanente du Luxembourg auprès de l’Organisation des Nations Unies, participera à « réduire les inégalités entre les sexes qui aggravent le mauvais état de santé des femmes ».
A l’en croire, « les femmes ont à affronter des problèmes de santé beaucoup plus lourds que les hommes parce qu’elles ne jouissent pas de la même liberté de prendre des décisions ». Et d’ajouter « ce qui limite à la fois l’expression de leurs opinions … » ce qui contribue à accroître leur pauvreté et leur marginalisation.
Pour Ndèye Khady Diop, ministre de la Famille de la Sécurité alimentaire de l’Entreprenariat féminin de la Micro finance et de la Petite enfance, « Le Sénégal est connu pour son engagement résolu dans la lutte contre les inégalités entre les sexes et pour l’optimisation de la contribution de la femme dans l’éclosion des transformations qualitatives au sein de la société ». Elle dira que « des résultats appréciables ont été obtenus avec notamment une baisse substantielle de la mortalité maternelle avec une amélioration générale de la santé de la femme et de la jeune fille ». Il est à noter que la rencontre entre dans le cadre de la préparation de la rencontre sur la promotion du statut de la Femme qui se tiendra à New York en Juillet 2010
Sud Quotidien