Dakar, 18 mars (APS) - Des députés sénégalais appellent à une meilleure allocation des ressources financières pour la mise en œuvre d’un plan d’action national pour l’accélération de l’abandon de l’excision, a appris l’APS de source informée.
Ce plan prône le développement harmonieux des enfants et un plus grand épanouissement des femmes au sein de leur ménage.
Des députés se sont réunis, samedi à Saly (Mbour) dans le cadre d’un atelier sur le rôle des parlementaires dans l’abandon des mutilations génitales féminines/ excision. La rencontre était organisée par l’Assemblée nationale sous l’égide de la Commission santé, population, affaires sociales et solidarité nationale de l’institution.
Elle était appuyée par l’Association des parlementaires européens partenaires de l’Afrique (AWEPA), en coopération avec le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) et le Fond des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF).
Selon un communiqué transmis à l’APS, ‘’un plan d’action parlementaire a été adopté, identifiant des initiatives concrètes pour favoriser l’abandon de l’excision d’ici 2015, par le biais d’activités de mise à niveau sur la pratique, le renforcement des capacités, la sensibilisation des populations dans les zones à haute prévalence’’.
La même source indique que les activités de mise à niveau sur l’abandon de la pratique de l’excision porteront également sur ‘’l’argumentaire médical, sanitaire et religieux’’.
A cela s’ajoute la proposition de mesures ‘’pour améliorer le cadre législatif et l’application de la loi, la mobilisation des ressources nationales et auprès des partenaires techniques et financiers, la coordination et enfin l’harmonisation des efforts au niveau national et sous régional.’’
À l’issue de l’atelier, les députés ont pris ‘’l’engagement fort pour l’abandon des mutilations génitales féminines/excision qui constituent une violation des droits fondamentaux de la femme, une atteinte grave à son intégrité physique et à sa dignité.’’
SDI/OID/AD
Ce plan prône le développement harmonieux des enfants et un plus grand épanouissement des femmes au sein de leur ménage.
Des députés se sont réunis, samedi à Saly (Mbour) dans le cadre d’un atelier sur le rôle des parlementaires dans l’abandon des mutilations génitales féminines/ excision. La rencontre était organisée par l’Assemblée nationale sous l’égide de la Commission santé, population, affaires sociales et solidarité nationale de l’institution.
Elle était appuyée par l’Association des parlementaires européens partenaires de l’Afrique (AWEPA), en coopération avec le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) et le Fond des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF).
Selon un communiqué transmis à l’APS, ‘’un plan d’action parlementaire a été adopté, identifiant des initiatives concrètes pour favoriser l’abandon de l’excision d’ici 2015, par le biais d’activités de mise à niveau sur la pratique, le renforcement des capacités, la sensibilisation des populations dans les zones à haute prévalence’’.
La même source indique que les activités de mise à niveau sur l’abandon de la pratique de l’excision porteront également sur ‘’l’argumentaire médical, sanitaire et religieux’’.
A cela s’ajoute la proposition de mesures ‘’pour améliorer le cadre législatif et l’application de la loi, la mobilisation des ressources nationales et auprès des partenaires techniques et financiers, la coordination et enfin l’harmonisation des efforts au niveau national et sous régional.’’
À l’issue de l’atelier, les députés ont pris ‘’l’engagement fort pour l’abandon des mutilations génitales féminines/excision qui constituent une violation des droits fondamentaux de la femme, une atteinte grave à son intégrité physique et à sa dignité.’’
SDI/OID/AD