Bakel : les cultures de décrue contribuent à la sécurité alimentaire, selon un technicien
Bakel, 14 déc (APS) - La production provenant des cultures de décrue destinées à la consommation locale, contribue à assurer la sécurité alimentaire des populations du département de Bakel, a indiqué Ousseynou Bâ, chef du service départemental du développement rural.
‘’Les cultures de décrue participent vraiment de la sécurité alimentaire au niveau du département de Bakel’’, a notamment dit M. Bâ dans un entretien accordé aux correspondants de l’APS et de Sud FM.
Dans cette partie du pays où ‘’la pluviométrie pose parfois problème’’, ‘’les populations se ruent sur les cultures de décrue’’ quand l’hivernage ne marche pas, a-t-il affirmé.
Selon lui, des variétés comme le maïs, le niébé, la patate sont cultivées le long du fleuve Sénégal, de la Falémé et des mares pérennes. En général, a-t-il relevé, la production est ‘’essentiellement consommée’’ par les Soninkés, population majoritaire dans cette zone.
Cette année, le fleuve a été bien rempli et le retrait des eaux qui a commencé dans la deuxième décade du mois d’octobre, a été ‘’moins précoce’’ par rapport à l’année dernière, a noté Ousseynou Bâ. Il a relevé que les cultures ‘’se comportent bien dans l’ensemble’’, signalant toutefois quelques attaques sur niébé, la laitue et le piment.
‘’Le maïs est en phase de maturation et bientôt les paysans vont commencer à récolter les premiers semis’’, a-t-il dit.
La culture de décrue s’étend de Aroundou, à Gandé dans l’arrondissement de Moudéry où la culture des trois principales variétés que sont le maïs, la patate et le niébé, démarre au mois d’octobre, coïncidant avec le début du retrait des eaux du fleuve, en général pour s’achever au mois d’avril, a expliqué M. Bâ.
Les producteurs utilisent des semences locales ‘’gardées jalousement’’ de génération en génération et qui permettent de disposer d’une base de données de ces variétés, a-t-il ajouté.
‘’Les cultures de décrue participent vraiment de la sécurité alimentaire au niveau du département de Bakel’’, a notamment dit M. Bâ dans un entretien accordé aux correspondants de l’APS et de Sud FM.
Dans cette partie du pays où ‘’la pluviométrie pose parfois problème’’, ‘’les populations se ruent sur les cultures de décrue’’ quand l’hivernage ne marche pas, a-t-il affirmé.
Selon lui, des variétés comme le maïs, le niébé, la patate sont cultivées le long du fleuve Sénégal, de la Falémé et des mares pérennes. En général, a-t-il relevé, la production est ‘’essentiellement consommée’’ par les Soninkés, population majoritaire dans cette zone.
Cette année, le fleuve a été bien rempli et le retrait des eaux qui a commencé dans la deuxième décade du mois d’octobre, a été ‘’moins précoce’’ par rapport à l’année dernière, a noté Ousseynou Bâ. Il a relevé que les cultures ‘’se comportent bien dans l’ensemble’’, signalant toutefois quelques attaques sur niébé, la laitue et le piment.
‘’Le maïs est en phase de maturation et bientôt les paysans vont commencer à récolter les premiers semis’’, a-t-il dit.
La culture de décrue s’étend de Aroundou, à Gandé dans l’arrondissement de Moudéry où la culture des trois principales variétés que sont le maïs, la patate et le niébé, démarre au mois d’octobre, coïncidant avec le début du retrait des eaux du fleuve, en général pour s’achever au mois d’avril, a expliqué M. Bâ.
Les producteurs utilisent des semences locales ‘’gardées jalousement’’ de génération en génération et qui permettent de disposer d’une base de données de ces variétés, a-t-il ajouté.
