Dakar, 7 mars (APS) – Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon déplore que les femmes restent ‘’des citoyennes de deuxième ordre’’ dans de nombreux pays.
Malgré les ‘’progrès considérables accomplis grâce à une mobilisation résolue, à une action pratique et à des politiques éclairées […], dans de trop nombreux pays et de trop nombreuses sociétés, les femmes restent des citoyennes de deuxième ordre’’, écrit M. Ban dans un message transmis à l’APS, à l’occasion du 100ème anniversaire de la Journée internationale de la femme, à célébrer jeudi.
‘’Bien que le fossé entre hommes et femmes en matière d’éducation se comble, il existe des écarts importants entre les pays et à l’intérieur d’un même pays, et beaucoup trop de filles sont encore privées de scolarisation, quittent prématurément l’école ou achèvent leur cycle d’étude avec peu de compétences et encore moins de débouchés’’, déplore le secrétaire général des Nations unies.
‘’Les femmes et les filles continuent aussi d’être victimes d’une discrimination et d’une violence intolérables, souvent aux mains de leur conjoint ou de leurs proches.’’
‘’À la maison comme à l’école, ajoute-t-il, sur le lieu de travail et dans la société, être une femme est trop souvent synonyme d’être sans défense.’’
‘’Et dans de nombreuses régions en proie à un conflit, la violence sexuelle sert délibérément et systématiquement à intimider les femmes et la société tout entière’’, souligne Ban Ki-moon.
ESF
Malgré les ‘’progrès considérables accomplis grâce à une mobilisation résolue, à une action pratique et à des politiques éclairées […], dans de trop nombreux pays et de trop nombreuses sociétés, les femmes restent des citoyennes de deuxième ordre’’, écrit M. Ban dans un message transmis à l’APS, à l’occasion du 100ème anniversaire de la Journée internationale de la femme, à célébrer jeudi.
‘’Bien que le fossé entre hommes et femmes en matière d’éducation se comble, il existe des écarts importants entre les pays et à l’intérieur d’un même pays, et beaucoup trop de filles sont encore privées de scolarisation, quittent prématurément l’école ou achèvent leur cycle d’étude avec peu de compétences et encore moins de débouchés’’, déplore le secrétaire général des Nations unies.
‘’Les femmes et les filles continuent aussi d’être victimes d’une discrimination et d’une violence intolérables, souvent aux mains de leur conjoint ou de leurs proches.’’
‘’À la maison comme à l’école, ajoute-t-il, sur le lieu de travail et dans la société, être une femme est trop souvent synonyme d’être sans défense.’’
‘’Et dans de nombreuses régions en proie à un conflit, la violence sexuelle sert délibérément et systématiquement à intimider les femmes et la société tout entière’’, souligne Ban Ki-moon.
ESF