La Fondation rurale de l’Afrique de l’ouest (Frao) organise, depuis hier, un atelier de quatre jours qui doit permettre à tous les acteurs des projets Fida de la sous-région Afrique de l’Ouest et du Centre, d’échanger sur les innovations et de capitaliser les expériences acquises.
Dakar abrite depuis hier et jusqu’au 29 octobre, un atelier de formation sur les méthodes et les techniques de capitalisation des expériences et innovations. Organisé par la Fondation rurale de l’Afrique de l’ouest (Frao), cet atelier entre dans le cadre du programme subsaharien de partage des savoirs Fidafrique initié par le Fonds international pour le développement agricole (Fida). Il est destiné aux cadres et coordonnateurs des projets financés par le Fida. « L’atelier permet à différents acteurs de systématiser ce qu’ils savent et ce qu’ils ont déjà fait. Ce qu’on vise, c’est que tous les projets qui sont représentés puissent repartir avec un plan de capitalisation pour leur pays », a déclaré Ndèye Coumba Fall, directrice exécutive de la Frao. Des acteurs des projets du Fida de différents pays de la sous-région sont ainsi réunis autour des techniques de capitalisation et des outils de gestion du savoir. « Beaucoup de choses se font dans le secteur du développement, mais il est devenu nécessaire que les institutions, les cadres des projets et les acteurs du développement s’approprient cette approche pour pouvoir documenter, capturer et diffuser ce qu’ils ont appris ou ce qu’ils sont en train d’apprendre », a dit la directrice exécutive de la Frao, précisant que c’est pour optimiser les résultats et avoir un plus large partage des connaissances qui sont en train d’émerger dans le développement. Ouvrant les travaux, le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture, de la Pisciculture et des Biocarburants, Makane Guissé, a estimé qu’il est important que tous les partenaires tels que les Ong et les institutions de développement rural, puissent accompagner le renforcement des capacités pour un meilleur pilotage des programmes. Selon M. Guissé, « cet atelier entre dans le cadre de la perspective du développement rural et de la réduction de la pauvreté en Afrique subsaharienne en général et au Sénégal en particulier ». Revenant sur la bonne coopération entre l’Etat du Sénégal et le Fida, M. Guissé a indiqué que le gouvernement veillera à ce que tous les financements destinés aux populations rurales soient utilisés à bon escient.
Aliou KANDE et Mamadou SY
Le Soleil
Dakar abrite depuis hier et jusqu’au 29 octobre, un atelier de formation sur les méthodes et les techniques de capitalisation des expériences et innovations. Organisé par la Fondation rurale de l’Afrique de l’ouest (Frao), cet atelier entre dans le cadre du programme subsaharien de partage des savoirs Fidafrique initié par le Fonds international pour le développement agricole (Fida). Il est destiné aux cadres et coordonnateurs des projets financés par le Fida. « L’atelier permet à différents acteurs de systématiser ce qu’ils savent et ce qu’ils ont déjà fait. Ce qu’on vise, c’est que tous les projets qui sont représentés puissent repartir avec un plan de capitalisation pour leur pays », a déclaré Ndèye Coumba Fall, directrice exécutive de la Frao. Des acteurs des projets du Fida de différents pays de la sous-région sont ainsi réunis autour des techniques de capitalisation et des outils de gestion du savoir. « Beaucoup de choses se font dans le secteur du développement, mais il est devenu nécessaire que les institutions, les cadres des projets et les acteurs du développement s’approprient cette approche pour pouvoir documenter, capturer et diffuser ce qu’ils ont appris ou ce qu’ils sont en train d’apprendre », a dit la directrice exécutive de la Frao, précisant que c’est pour optimiser les résultats et avoir un plus large partage des connaissances qui sont en train d’émerger dans le développement. Ouvrant les travaux, le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture, de la Pisciculture et des Biocarburants, Makane Guissé, a estimé qu’il est important que tous les partenaires tels que les Ong et les institutions de développement rural, puissent accompagner le renforcement des capacités pour un meilleur pilotage des programmes. Selon M. Guissé, « cet atelier entre dans le cadre de la perspective du développement rural et de la réduction de la pauvreté en Afrique subsaharienne en général et au Sénégal en particulier ». Revenant sur la bonne coopération entre l’Etat du Sénégal et le Fida, M. Guissé a indiqué que le gouvernement veillera à ce que tous les financements destinés aux populations rurales soient utilisés à bon escient.
Aliou KANDE et Mamadou SY
Le Soleil