Cette cérémonie qui regroupait entre autres les organisations de la société civile, les services administratifs, les élus locaux et les organisations de producteurs, a constitué pour autant une occasion de mobiliser l’ensemble des réflexions tirées des acteurs impliqués directement ou indirectement dans cette démarche.
Ainsi en prélude de l’atelier national de partage prévu pour Juin prochain, le Geste veut aujourd’hui que les femmes sénégalaises retrouvent leurs droits foncier partout dans les différentes collectivités où elles évoluent afin de disposer de l’essentiel de leurs droits économiques qui dépendent sans doute de l’accès à la terre. C’est en effet une recherche qui s’est poursuivie sur toute l’étendue du territoire national. Elle a été menée sur la base d’un certain nombre de principes : le respect des zones éco-géographiques ou sylvopastorales, des différentes pratiques foncières en rapport avec les femmes selon les réalités géographiques, historiques, sociologiques spécifique à chaque collectivité.
Cela a surtout permis selon le rapport du Gestes une compréhension globale de la méthode de gestion du foncier au Sénégal, et d’enclencher une autre réflexion en direction du démarrage d’un nouveau projet de révision des cadres juridiques légaux, qui à la limite passeront nécessairement par l’élaboration d’une base argumentaire et d’un plaidoyer au bénéfice des institutions et autres organisations de défense des droits exclusivement économiques des femmes. Ainsi à Kaolack, la rencontre avec les organisations impliquées a surtout permis de recenser deux propositions majeures : le renforcement des capacités des femmes pour une meilleure maîtrise des textes de loi et celui des moyens financiers et techniques permettant aux femmes d’être plus libres dans leurs activités d’exploitation.
Selon Alpha Bâ assistant de recherche en genre et société au Gestes, ces nouveaux résultats de la recherche serviront à l’amendement du rapport d’études qu’il convient de présenter plutard aux décideurs et partenaires de défense des droits humains.
Se prononçant par contre de la nouvelle loi d’orientation de gestion du foncier au Sénégal, il a fait savoir que la recherche qui vient d’être effectuer dans ce cadre précis, n’est point destinée à changer quoi que ce soit dans les décisions étatiques parce que jugées être en conformité avec les principes de loi. Cette recherche pour lui permet surtout d’adopter le principe aux nouvelles orientations, pour que ces mêmes orientations puissent prendre en compte les intérêts des femmes dans le domaine foncier.
Sud Quotidien
Ainsi en prélude de l’atelier national de partage prévu pour Juin prochain, le Geste veut aujourd’hui que les femmes sénégalaises retrouvent leurs droits foncier partout dans les différentes collectivités où elles évoluent afin de disposer de l’essentiel de leurs droits économiques qui dépendent sans doute de l’accès à la terre. C’est en effet une recherche qui s’est poursuivie sur toute l’étendue du territoire national. Elle a été menée sur la base d’un certain nombre de principes : le respect des zones éco-géographiques ou sylvopastorales, des différentes pratiques foncières en rapport avec les femmes selon les réalités géographiques, historiques, sociologiques spécifique à chaque collectivité.
Cela a surtout permis selon le rapport du Gestes une compréhension globale de la méthode de gestion du foncier au Sénégal, et d’enclencher une autre réflexion en direction du démarrage d’un nouveau projet de révision des cadres juridiques légaux, qui à la limite passeront nécessairement par l’élaboration d’une base argumentaire et d’un plaidoyer au bénéfice des institutions et autres organisations de défense des droits exclusivement économiques des femmes. Ainsi à Kaolack, la rencontre avec les organisations impliquées a surtout permis de recenser deux propositions majeures : le renforcement des capacités des femmes pour une meilleure maîtrise des textes de loi et celui des moyens financiers et techniques permettant aux femmes d’être plus libres dans leurs activités d’exploitation.
Selon Alpha Bâ assistant de recherche en genre et société au Gestes, ces nouveaux résultats de la recherche serviront à l’amendement du rapport d’études qu’il convient de présenter plutard aux décideurs et partenaires de défense des droits humains.
Se prononçant par contre de la nouvelle loi d’orientation de gestion du foncier au Sénégal, il a fait savoir que la recherche qui vient d’être effectuer dans ce cadre précis, n’est point destinée à changer quoi que ce soit dans les décisions étatiques parce que jugées être en conformité avec les principes de loi. Cette recherche pour lui permet surtout d’adopter le principe aux nouvelles orientations, pour que ces mêmes orientations puissent prendre en compte les intérêts des femmes dans le domaine foncier.
Sud Quotidien