Venues essentiellement des localités de Malhème Hoddar, Passy, Ndoffane et Kaffrine, ces jeunes dames, il faut le souligner, sont aussi membres des regroupements partenaires du Réseau Africain pour un développement intégré (Radi) avec qui , elles cheminent dans le projet de lutte contre la pauvreté dans les secteurs ruraux et urbains.
Le projet de lutte pour la formalisation des associations et regroupements de femmes des régions de Kaolack et Kaffrine découle du partenariat établi entre le réseau Africain pour le développement intégré et « Developpment EP », une organisation d’origine Canadienne.
Ce partenariat vise à rendre beaucoup plus autonomes les femmes, et les regroupements dans lesquels elles s’activent pour leur propre prise en charge sociale. Pour cela, plusieurs activités ont été relativement menées autant dans le cadre de l’organisation des regroupements que dans le volet formation des membres de ces associations.
A présent dans plusieurs localités, les résultats du projet commencent à faire tâche d’huile. Dans beaucoup de villages les regroupements se sont mobilisés pour former aujourd’hui des unions. Il faut simplement ajouter que ce programme de renforcement de capacité dans les regroupements de femmes sera poursuivi pour deux ans encore dans les régions de Kaolack et Kaffrine.
Sud Quotidien
Le projet de lutte pour la formalisation des associations et regroupements de femmes des régions de Kaolack et Kaffrine découle du partenariat établi entre le réseau Africain pour le développement intégré et « Developpment EP », une organisation d’origine Canadienne.
Ce partenariat vise à rendre beaucoup plus autonomes les femmes, et les regroupements dans lesquels elles s’activent pour leur propre prise en charge sociale. Pour cela, plusieurs activités ont été relativement menées autant dans le cadre de l’organisation des regroupements que dans le volet formation des membres de ces associations.
A présent dans plusieurs localités, les résultats du projet commencent à faire tâche d’huile. Dans beaucoup de villages les regroupements se sont mobilisés pour former aujourd’hui des unions. Il faut simplement ajouter que ce programme de renforcement de capacité dans les regroupements de femmes sera poursuivi pour deux ans encore dans les régions de Kaolack et Kaffrine.
Sud Quotidien