Dans le cadre de la lutte contre la pauvreté dans le monde rural, le Projet d’appui aux petites entreprises du Sénégal (Papes) vient d’octroyer aux regroupements de jeunes et femmes de Passy (situé à 30 kms au sud-ouest de Kaolack), une enveloppe de 33 millions de francs Cfa. Cette assistance devrait aider au lancement et le renforcement de leurs petites industries de transport (motocyclette), de transformation agro-alimentaire des produits tirés de l’anacardier, des cybers café etc....
Dans ce contexte de soudure où les difficultés de survie dans le monde paysan deviennent de plus en plus récurrentes, les jeunes et femmes, qui sont les principaux bénéficiaires de ces financements du Papes, sont généralement les plus touchés.
Le maire de la commune rurale de Passy, Moustapha Kâ, pense que cette enveloppe est assez consistante pour répondre aux besoins des cibles dans le cadre de leurs activités respectives. En termes de revenus, Moustapha Kâ pense que l’impact est certain. Pour lui, « il s’agit simplement d’aller vers une expertise et essayer d’assurer une bonne gestion de ces fonds qui, à la limite, sont remboursables ». Selon le maire de la commune rurale de Passy : « cette option permettra la pérennisation du projet dont les actions s’inscrivent dans la durée ». Ainsi avec une population estimée à 10 mille habitants, la commune de Passy, par rapport à ses rentrées financières, ne dépend que de son marché hebdomadaire qui se tient tous les samedis et des recettes tirées de sa gare routière.
A chaque tenue de ce rendez-vous communément appelé « Louma », on peut compter jusqu’à mille charrettes. Même si la municipalité retire 400 mille francs Cfa à chaque édition de ses marchés hebdomadaires, le maire Moustapha Kâ estime que ces recettes demeurent encore « insuffisantes ». Ce qui a d’ailleurs donné l’idée aux élus de cette localité de mettre en place une nouvelle galerie commerciale afin d’augmenter la capacité d’accueil du marché sans oublier que cette commune est un carrefour.
Sud Quotidien
Dans ce contexte de soudure où les difficultés de survie dans le monde paysan deviennent de plus en plus récurrentes, les jeunes et femmes, qui sont les principaux bénéficiaires de ces financements du Papes, sont généralement les plus touchés.
Le maire de la commune rurale de Passy, Moustapha Kâ, pense que cette enveloppe est assez consistante pour répondre aux besoins des cibles dans le cadre de leurs activités respectives. En termes de revenus, Moustapha Kâ pense que l’impact est certain. Pour lui, « il s’agit simplement d’aller vers une expertise et essayer d’assurer une bonne gestion de ces fonds qui, à la limite, sont remboursables ». Selon le maire de la commune rurale de Passy : « cette option permettra la pérennisation du projet dont les actions s’inscrivent dans la durée ». Ainsi avec une population estimée à 10 mille habitants, la commune de Passy, par rapport à ses rentrées financières, ne dépend que de son marché hebdomadaire qui se tient tous les samedis et des recettes tirées de sa gare routière.
A chaque tenue de ce rendez-vous communément appelé « Louma », on peut compter jusqu’à mille charrettes. Même si la municipalité retire 400 mille francs Cfa à chaque édition de ses marchés hebdomadaires, le maire Moustapha Kâ estime que ces recettes demeurent encore « insuffisantes ». Ce qui a d’ailleurs donné l’idée aux élus de cette localité de mettre en place une nouvelle galerie commerciale afin d’augmenter la capacité d’accueil du marché sans oublier que cette commune est un carrefour.
Sud Quotidien