Réunies en une fédération de 100 associations, ces organisations de femmes s’investissent dans la lutte contre la pauvreté en s’activant dans le commerce informel, la teinturerie et autres activités sociales. Conscientes de leurs apports dans la lutte contre la pauvreté, ces femmes se sont réunies, samedi 14 juin dernier, à la cité Hamo 5 de Guédiawaye, pour discuter de la réglementation de leur fédération et pour débattre sur la manière de péréniser ce qu’elles sont en train de réaliser.
Selon elles, le temps est venu de s’organiser davantage pour être plus efficaces. Car, disent-elles, « nous avons beaucoup fait dans l’informel ». c’est pourquoi des cours d’alphabétisations sont prévus dans leurs programme afin de former les membres de leur fédération dans l’élaboration de micro projets et en gestion.
Mme Aida SY Bop, présidente de la Fédération, a profité de cette occasion pour lancer un appel fort en direction des bonnes volontés et des partenaires au développement, pour qu’elles puissent atteindre leurs objectifs. « Nous sollicitons une aide auprès de tous ceux qui peuvent nous aider à atteindre nos objectifs », a-t-elle encore ajouté avant de souligner qu’elles tendent la main à toutes les associations dont celle de la « génération du concret ». Tout en précisant qu’elles « n’œuvrent pas dans la politique, mais qu’elles ont besoin du soutien des politiciens pour mieux créer des activités génératrices de revenus et d’accéder au financement ».
Sud Quotidien
Selon elles, le temps est venu de s’organiser davantage pour être plus efficaces. Car, disent-elles, « nous avons beaucoup fait dans l’informel ». c’est pourquoi des cours d’alphabétisations sont prévus dans leurs programme afin de former les membres de leur fédération dans l’élaboration de micro projets et en gestion.
Mme Aida SY Bop, présidente de la Fédération, a profité de cette occasion pour lancer un appel fort en direction des bonnes volontés et des partenaires au développement, pour qu’elles puissent atteindre leurs objectifs. « Nous sollicitons une aide auprès de tous ceux qui peuvent nous aider à atteindre nos objectifs », a-t-elle encore ajouté avant de souligner qu’elles tendent la main à toutes les associations dont celle de la « génération du concret ». Tout en précisant qu’elles « n’œuvrent pas dans la politique, mais qu’elles ont besoin du soutien des politiciens pour mieux créer des activités génératrices de revenus et d’accéder au financement ».
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