En partenariat avec le gouvernement et sur financement des Belges, le fonds de développement des nations unies pour la femme a organisé un atelier de réflexion. Cette rencontre qui dure deux jours a pour but de voir comment faire pour intégrer l’aspect genre dans les politiques et les programmations budgétaires.
Dans le but d’atteindre l’un des 8 objectifs du millénaire pour le développement (Omd) qui se trouve être la mise en place de politiques tenants compte des disparités de genre pour réduire la pauvreté et les exclusions des femmes, le fonds de développement des Nations Unies pour la femme (Unifem) a organisé un atelier de réflexion pour trouver les stratégies à adopter dans ce domaine. Et pour ce faire, l’accent est mis la budgétisation et l’institutionnalisation de l’aspect genre. Selon Mme Cécile Mukarvibuga, directrice régionale de l’Unifem pour l’Afrique de l’Ouest: « Il s’agit de discuter et voir quelles sont les stratégies de l’institutionnalisation de la budgétisation sensible au genre dans tous les secteurs ministériels du Sénégal, mais aussi de voir quelle est la place du budget national pour pouvoir prendre en compte les femmes ». Dans le même ordre d’idées, Mme Safiétou Ba, coordonnatrice du projet genre à l’Unifem : « Au niveau de la société civile et des ministères comme celle de l’agriculture, il y’a un plaidoyer politique qui est développé pour la prise en compte du genre dans toutes les interventions en faveur des populations ». Les objectifs de cette rencontre sont d’appuyer le gouvernement à lutter contre la féminisation de la pauvreté, de faire en sorte que les budgets soient perçus à travers des lunettes genre, mais aussi d’amener les acteurs à une planification plus équitable des actions de développement. Au sortir de cette conclave , il est prévu que : « Les acteurs qui représentent le gouvernement, la société civile, les partenaires au développement doivent proposer des stratégies qu’il faut mettre en œuvre et les étapes que nous devons suivre afin que la prise en compte du genre dans les politiques et les programmations budgétaires puissent être institutionnalisés et pérennisés ». Laisse entendre la coordonnatrice du projet.
Ndeye Mariama Kobar
L'Office
Dans le but d’atteindre l’un des 8 objectifs du millénaire pour le développement (Omd) qui se trouve être la mise en place de politiques tenants compte des disparités de genre pour réduire la pauvreté et les exclusions des femmes, le fonds de développement des Nations Unies pour la femme (Unifem) a organisé un atelier de réflexion pour trouver les stratégies à adopter dans ce domaine. Et pour ce faire, l’accent est mis la budgétisation et l’institutionnalisation de l’aspect genre. Selon Mme Cécile Mukarvibuga, directrice régionale de l’Unifem pour l’Afrique de l’Ouest: « Il s’agit de discuter et voir quelles sont les stratégies de l’institutionnalisation de la budgétisation sensible au genre dans tous les secteurs ministériels du Sénégal, mais aussi de voir quelle est la place du budget national pour pouvoir prendre en compte les femmes ». Dans le même ordre d’idées, Mme Safiétou Ba, coordonnatrice du projet genre à l’Unifem : « Au niveau de la société civile et des ministères comme celle de l’agriculture, il y’a un plaidoyer politique qui est développé pour la prise en compte du genre dans toutes les interventions en faveur des populations ». Les objectifs de cette rencontre sont d’appuyer le gouvernement à lutter contre la féminisation de la pauvreté, de faire en sorte que les budgets soient perçus à travers des lunettes genre, mais aussi d’amener les acteurs à une planification plus équitable des actions de développement. Au sortir de cette conclave , il est prévu que : « Les acteurs qui représentent le gouvernement, la société civile, les partenaires au développement doivent proposer des stratégies qu’il faut mettre en œuvre et les étapes que nous devons suivre afin que la prise en compte du genre dans les politiques et les programmations budgétaires puissent être institutionnalisés et pérennisés ». Laisse entendre la coordonnatrice du projet.
Ndeye Mariama Kobar
L'Office