‘’Les femmes manquent d’audace pour jouer les premiers rôles dans les partis et malgré leur présence massive ne constituent pas une force’’, a déclaré la responsable politique du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) au cours d’une conférence organisée vendredi dernier à par le Centre de recherche ouest africain (WARC).
Marie-Pierre Sarr qui intervenait sur le thème de la rencontre : ‘’La femme sénégalaise en politique : continuité et rupture’’, a souligné que les principaux problèmes des femmes dans la politique sont leur manque d’outils pour asseoir une argumentation sur les grandes questions touchant la vie de leur parti et de la Nation.
‘’Elles sont mal outillées et leur manque de formation, de ressources financières et de moyens matériels est souvent source de frustrations’’, a-t-elle argumenté.
Selon elle, la politique est ‘’rebelle aux femmes’’ même si toutefois, elle reconnaît que ‘’de plus en plus de femmes manifestent un intérêt pour la politique mais ont des difficultés pour percer’’.
La responsable libérale a également évoqué l’instrumentalisation dont les femmes sont victimes de la part des hommes qui ne voient en elles que des faire-valoir et des agents de mobilisation et d’animation.
Dans ce qu’elle a appelé ‘’un diagnostic sans complaisance de la situation des femmes dans les formations politiques’’, Mme Traoré n’a pas manqué de souligner leurs atouts qui sont la proximité avec les populations, leur fidélité dans l’action politique et leur investissement dans le social.
Professeur de droit, elle a appelé ses ‘’sœurs’’ à ne pas seulement se contenter des rôles que les hommes veulent bien leur confier mais d’aller au bout de leur conviction et de faire en sorte que leur présence ne soit pas en porte-à-faux avec leur représentativité.
Malgré cet état de fait, elle se dit convaincue que des ruptures sont en train d’être opérées pour permettre aux femmes de ‘’s’imposer dans l’exercice du pouvoir’’.
‘’Les questions qui touchent les femmes sont de plus en plus inscrites au cœur des préoccupations politiques et les femmes veulent écrire leur propre histoire politique’’, a-t-elle dit.
‘’Le contexte juridique et constitutionnel est favorable aux femmes et on assiste à la constitutionnalisation de nouvelles formes de libertés’’, a-t-il indiqué.
Marie-Pierre Sarr qui intervenait sur le thème de la rencontre : ‘’La femme sénégalaise en politique : continuité et rupture’’, a souligné que les principaux problèmes des femmes dans la politique sont leur manque d’outils pour asseoir une argumentation sur les grandes questions touchant la vie de leur parti et de la Nation.
‘’Elles sont mal outillées et leur manque de formation, de ressources financières et de moyens matériels est souvent source de frustrations’’, a-t-elle argumenté.
Selon elle, la politique est ‘’rebelle aux femmes’’ même si toutefois, elle reconnaît que ‘’de plus en plus de femmes manifestent un intérêt pour la politique mais ont des difficultés pour percer’’.
La responsable libérale a également évoqué l’instrumentalisation dont les femmes sont victimes de la part des hommes qui ne voient en elles que des faire-valoir et des agents de mobilisation et d’animation.
Dans ce qu’elle a appelé ‘’un diagnostic sans complaisance de la situation des femmes dans les formations politiques’’, Mme Traoré n’a pas manqué de souligner leurs atouts qui sont la proximité avec les populations, leur fidélité dans l’action politique et leur investissement dans le social.
Professeur de droit, elle a appelé ses ‘’sœurs’’ à ne pas seulement se contenter des rôles que les hommes veulent bien leur confier mais d’aller au bout de leur conviction et de faire en sorte que leur présence ne soit pas en porte-à-faux avec leur représentativité.
Malgré cet état de fait, elle se dit convaincue que des ruptures sont en train d’être opérées pour permettre aux femmes de ‘’s’imposer dans l’exercice du pouvoir’’.
‘’Les questions qui touchent les femmes sont de plus en plus inscrites au cœur des préoccupations politiques et les femmes veulent écrire leur propre histoire politique’’, a-t-elle dit.
‘’Le contexte juridique et constitutionnel est favorable aux femmes et on assiste à la constitutionnalisation de nouvelles formes de libertés’’, a-t-il indiqué.