L’étude de faisabilité du projet de développement de l’entreprenariat féminin pour la production et l’exportation des fruits et légumes, initiée en 2007 par le Ministère de l’entreprenariat féminin et de l’Organisation des Nations Unies pour le développement Industriel (Onudi), a été restituée hier, vendredi 16 octobre à Dakar. Un projet qui, selon le Ministre d’Etat, Ministre de la Famille, de la Sécurité Alimentaire, de l’Entreprenariat Féminin, de la Microfinance et de la Petite Enfance, Mme Ndèye Khady Diop a rappelé que « ce projet vise le renforcement des capacités des femmes entrepreneures et leur professionnalisation, par l’amélioration de la production, la conservation et la transformation de produits à fort potentiel, avec l’utilisation d’emballages adaptés, en respect des normes de qualité internationales ». Le Ministre d’Etat y a ajouté qu’il s’agissait aussi d’aboutir à une meilleure maîtrise des circuits de commercialisation de ces produits sur le marché européen.
Elle informe ainsi que « ce projet d’un montant d’environ 4 milliards 897 millions de F Cfa, pour une durée de quatre ans, et qui va gérer près de 800 emplois, et la création d’une quarantaine d’entreprises, contribuera de façon certaines, à l’opérationnalisation du DSRP II dans son premier axe « Création de Richesse » et de celle de la Stratégie de Croissance Accélérée, particulièrement dans la grappe agriculture et agro-industrie ». C’est ainsi que le Secrétaire Permanent de la Sca, M. Ibrahima Wade a estimé que « ce projet, lorsqu’il aura bien été mis en œuvre contribuera beaucoup à la croissance ».
Le Représentant de l’Onudi, M. Edme Koffi a rappelé l’importance que le système des Nations Unies au Sénégal, a donné à l’autonomisation des femmes et la promotion de l’égalité des sexes. Sur cette même lancée, la Déléguée de la coopération Wallonie Bruxelles, y a ajouté l’appui que sa région apporte au Sénégal dans le domaine de la promotion de l’entreprenariat féminin, à l’Institut des Technologies Agricoles (Ita) notamment avec le bissap qui est actuellement exporté au Japon à travers des chaînes hôtelières de luxes.
Malgré cette volonté, il demeure que la micro et petites entreprises où s’activent la majorité des femmes entrepreneures, rencontre des difficultés liées à la qualité, les ressources et moyens nécessaires la permettant d’accéder aux marchés porteurs. Et malgré leur forte présence dans le secteur agricole et notamment dans les produits horticoles et les produits transformés, il est noté que les femmes qui mènent 35% de leurs activités, peinent encore à se tailler des parts conséquentes de marchés au niveau national comme international. Selon le Ministre d’Etat, Ndèye Khady Diop, les contraintes majeures auxquelles elles sont confrontées étant liées à l’accès aux ressources financières, au foncier ou à la terre, et aux facteurs de production, notamment le coût de l’énergie, et le manque d’équipements adaptés.
Partant de ce constat, M. Edme Koffi estime que « la mise en œuvre du projet de développement de l’entreprenariat féminin pour la production et l’exportation des fruits et légumes, dépendra de l’accompagnement des partenaires financier ». Il faut souligner que tous les orateurs lors de l’ouverture de ce séminaire, ont lancé un appel aux partenaires techniques financiers pour leur accompagnement et le soutien pour atteindre les objectifs de ce projet. A cela, le Ministre d’Etat en charge de l’entreprenariat féminin y a ajouté la contribution du secteur privé. Une aperçue de cet appel devra être dégagée à l’issu de cet atelier de validation qui, d’après Mme Ndèye Khady Diop, cherche à proposer des dispositifs opérationnels techniques et financiers, permettant aux femmes entrepreneures de se déployer massivement et durablement, à travers quatre à cinq produits horticoles, sur le marché de l’exportation.
Sud Quotidien
Elle informe ainsi que « ce projet d’un montant d’environ 4 milliards 897 millions de F Cfa, pour une durée de quatre ans, et qui va gérer près de 800 emplois, et la création d’une quarantaine d’entreprises, contribuera de façon certaines, à l’opérationnalisation du DSRP II dans son premier axe « Création de Richesse » et de celle de la Stratégie de Croissance Accélérée, particulièrement dans la grappe agriculture et agro-industrie ». C’est ainsi que le Secrétaire Permanent de la Sca, M. Ibrahima Wade a estimé que « ce projet, lorsqu’il aura bien été mis en œuvre contribuera beaucoup à la croissance ».
Le Représentant de l’Onudi, M. Edme Koffi a rappelé l’importance que le système des Nations Unies au Sénégal, a donné à l’autonomisation des femmes et la promotion de l’égalité des sexes. Sur cette même lancée, la Déléguée de la coopération Wallonie Bruxelles, y a ajouté l’appui que sa région apporte au Sénégal dans le domaine de la promotion de l’entreprenariat féminin, à l’Institut des Technologies Agricoles (Ita) notamment avec le bissap qui est actuellement exporté au Japon à travers des chaînes hôtelières de luxes.
Malgré cette volonté, il demeure que la micro et petites entreprises où s’activent la majorité des femmes entrepreneures, rencontre des difficultés liées à la qualité, les ressources et moyens nécessaires la permettant d’accéder aux marchés porteurs. Et malgré leur forte présence dans le secteur agricole et notamment dans les produits horticoles et les produits transformés, il est noté que les femmes qui mènent 35% de leurs activités, peinent encore à se tailler des parts conséquentes de marchés au niveau national comme international. Selon le Ministre d’Etat, Ndèye Khady Diop, les contraintes majeures auxquelles elles sont confrontées étant liées à l’accès aux ressources financières, au foncier ou à la terre, et aux facteurs de production, notamment le coût de l’énergie, et le manque d’équipements adaptés.
Partant de ce constat, M. Edme Koffi estime que « la mise en œuvre du projet de développement de l’entreprenariat féminin pour la production et l’exportation des fruits et légumes, dépendra de l’accompagnement des partenaires financier ». Il faut souligner que tous les orateurs lors de l’ouverture de ce séminaire, ont lancé un appel aux partenaires techniques financiers pour leur accompagnement et le soutien pour atteindre les objectifs de ce projet. A cela, le Ministre d’Etat en charge de l’entreprenariat féminin y a ajouté la contribution du secteur privé. Une aperçue de cet appel devra être dégagée à l’issu de cet atelier de validation qui, d’après Mme Ndèye Khady Diop, cherche à proposer des dispositifs opérationnels techniques et financiers, permettant aux femmes entrepreneures de se déployer massivement et durablement, à travers quatre à cinq produits horticoles, sur le marché de l’exportation.
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