L’assemblée annuelle du Réseau national pour l’élimination de la pauvreté et le développement de l’entreprenariat (Repden) tenue, samedi, à la Chambre de commerce de Dakar, a décidé de rendre le projet de crédit accessible aux couches féminines les plus défavorisées. Le ministre de la Famille, de l’Entreprenariat féminin et de la Micro finance, Awa Ndiaye, en présidant la réunion, indique que ‘le Fonds national de promotion de l’entreprenariat féminin est destiné aux promotrices d’entreprises en difficulté ou en croissance’. Par ailleurs, Awa Ndiaye a invité le Repen à plus de cohérence, de synergie et d’efficacité dans leurs interventions. Et, aussi à adopter des stratégies favorisant les passerelles entre les différentes structures.
Pour l’initiatrice de la Repen, Khady Fall Ndiaye, l’avancement de leur structure ne peut se faire sans le renforcement des capacités des femmes. D’après elle, cela représente un facteur essentiel au processus visant à faire sortir des millions de personnes du cycle de la pauvreté et de la faim. ‘En offrant aux femmes des opportunités économiques et éducatives, de même que l'autonomie nécessaire pour tirer parti de telles perspectives, un obstacle important à l'élimination de la pauvreté serait surmonté’, dit-elle. ‘La provision de crédit, en particulier de micro-crédit, ajoute Khady Fall Ndiaye, est une stratégie très courante et concluante dans le domaine de l'élimination de la pauvreté’. Mais pour y arriver, fait-elle remarquer, ‘il faudra mettre en place un programme qui œuvre pour la sensibilisation, la formation et la mobilisation de la population sociale’. Selon elle, c’est dans ce cadre que le Repen a choisi d’intervenir au niveau de cinq régions du Sénégal : en l’occurrence Dakar, Diourbel, Tambacounda, Kolda et Thiès.
Le Programme d'action du Repen a également lancé un appel en direction des autorités du pays notamment le ministre de la Famille, de l’Entreprenariat féminin et de la Micro finance qui est leur tutelle à ‘entreprendre des réformes législatives et administratives afin d'accorder aux femmes un accès complet et égal aux ressources, dont le droit d'hériter et d'accéder au statut de propriétaire terrien’. Le ministre Awa Ndiaye a mis à profit cette réunion pour déclarer que d’importantes mesures seront adoptées par le gouvernement, visant à améliorer les conditions de vie, telle que la mise en place d’une stratégie nationale d’égalité et d’équité entre les sexes.
Wal Fadjri
Pour l’initiatrice de la Repen, Khady Fall Ndiaye, l’avancement de leur structure ne peut se faire sans le renforcement des capacités des femmes. D’après elle, cela représente un facteur essentiel au processus visant à faire sortir des millions de personnes du cycle de la pauvreté et de la faim. ‘En offrant aux femmes des opportunités économiques et éducatives, de même que l'autonomie nécessaire pour tirer parti de telles perspectives, un obstacle important à l'élimination de la pauvreté serait surmonté’, dit-elle. ‘La provision de crédit, en particulier de micro-crédit, ajoute Khady Fall Ndiaye, est une stratégie très courante et concluante dans le domaine de l'élimination de la pauvreté’. Mais pour y arriver, fait-elle remarquer, ‘il faudra mettre en place un programme qui œuvre pour la sensibilisation, la formation et la mobilisation de la population sociale’. Selon elle, c’est dans ce cadre que le Repen a choisi d’intervenir au niveau de cinq régions du Sénégal : en l’occurrence Dakar, Diourbel, Tambacounda, Kolda et Thiès.
Le Programme d'action du Repen a également lancé un appel en direction des autorités du pays notamment le ministre de la Famille, de l’Entreprenariat féminin et de la Micro finance qui est leur tutelle à ‘entreprendre des réformes législatives et administratives afin d'accorder aux femmes un accès complet et égal aux ressources, dont le droit d'hériter et d'accéder au statut de propriétaire terrien’. Le ministre Awa Ndiaye a mis à profit cette réunion pour déclarer que d’importantes mesures seront adoptées par le gouvernement, visant à améliorer les conditions de vie, telle que la mise en place d’une stratégie nationale d’égalité et d’équité entre les sexes.
Wal Fadjri