Mutualiser l’effort des jeunes entrepreneures autour d’une charte commune pour faire entendre leurs voix, c’est l’objectif affiché par le Rejefe( Réseau des jeunes femmes entrepreneures). Pour cela, elles ont fait leur, le crédo du Mahatma Ghandi : « Nous allons être le changement que nous voulons pour notre société». Le réseau entend par là, faire la promotion de l’entreprenariat féminin.
Mariama Sarr, Ministre de la Femme, de l'Enfant et de l'Entreprenariat féminin, a assuré que son département était en « quête perpétuelle de l’équité et de l’égalité des chances ». Ainsi, le Fonds de soutien aux initiatives féminines (FONSIF) a été mis en place par le gouvernement du Sénégal pour faciliter l’accès des femmes au financement. La Ministre a toutefois fait savoir que ce fonds ne sera pas sous forme de dons, mais plutôt de prêts que les femmes devront rembourser. Elle a appelé le réseau à inscrire dans ses modules de formation, l’éducation financière et le marketing. Pour Mariama Sarr, la labélisation, l’étiquetage et l’emballage sont des défis à relever par les jeunes entrepreneures. Elle les a aussi invitées à développer une culture d’entreprise citoyenne par la promotion de la transparence, de la responsabilité sociale et du développement durable.
Mansour Kama, Président de la Confédération nationale des Entreprises du Sénégal, (CNES), a appelé les jeunes entrepreneures à cultiver l’esprit d’indépendance. Pour lui, les membres du Rejefe doivent se battre et faire preuve de savoir-faire et d’imagination, pour gagner leur place dans le monde des affaires. A son avis, « Il n’y a pas de différence dans la problématique générale qui touche le développement des Petites moyennes entreprises (PME) et des Toutes petites entreprises (TPE). » Il les a ainsi exhortées à sortir de l’état d’esprit selon lequel les femmes subissent un traitement discriminatoire négatif. Je vous invite, dit-il, « à sortir de cet état d’esprit, puisque les contraintes et les difficultés sont partout ». Le président de la CNES a également mis l’accent sur la formation. Il a appelé les membres du réseau à favoriser l’investissement productif en s’orientant vers la production et la transformation des produits locaux pour changer le visage de l’économie nationale et promouvoir le consommer local.
Le Rejefe regroupe des jeunes femmes âgées en moyenne de 30 ans et issues de différents secteurs. La mise en réseau répond au besoin de ''valoriser les compétences des membres et de les rendre compétitives, tant au niveau national qu’international''.
D’après sa présidente Fatoumata Fall, le réseau a pour but « d’apporter un appui considérable à ses membres dans le cadre de la recherche de financement, du renforcement de leurs capacités et du développement de leurs activités ».
Mariama Sarr, Ministre de la Femme, de l'Enfant et de l'Entreprenariat féminin, a assuré que son département était en « quête perpétuelle de l’équité et de l’égalité des chances ». Ainsi, le Fonds de soutien aux initiatives féminines (FONSIF) a été mis en place par le gouvernement du Sénégal pour faciliter l’accès des femmes au financement. La Ministre a toutefois fait savoir que ce fonds ne sera pas sous forme de dons, mais plutôt de prêts que les femmes devront rembourser. Elle a appelé le réseau à inscrire dans ses modules de formation, l’éducation financière et le marketing. Pour Mariama Sarr, la labélisation, l’étiquetage et l’emballage sont des défis à relever par les jeunes entrepreneures. Elle les a aussi invitées à développer une culture d’entreprise citoyenne par la promotion de la transparence, de la responsabilité sociale et du développement durable.
Mansour Kama, Président de la Confédération nationale des Entreprises du Sénégal, (CNES), a appelé les jeunes entrepreneures à cultiver l’esprit d’indépendance. Pour lui, les membres du Rejefe doivent se battre et faire preuve de savoir-faire et d’imagination, pour gagner leur place dans le monde des affaires. A son avis, « Il n’y a pas de différence dans la problématique générale qui touche le développement des Petites moyennes entreprises (PME) et des Toutes petites entreprises (TPE). » Il les a ainsi exhortées à sortir de l’état d’esprit selon lequel les femmes subissent un traitement discriminatoire négatif. Je vous invite, dit-il, « à sortir de cet état d’esprit, puisque les contraintes et les difficultés sont partout ». Le président de la CNES a également mis l’accent sur la formation. Il a appelé les membres du réseau à favoriser l’investissement productif en s’orientant vers la production et la transformation des produits locaux pour changer le visage de l’économie nationale et promouvoir le consommer local.
Le Rejefe regroupe des jeunes femmes âgées en moyenne de 30 ans et issues de différents secteurs. La mise en réseau répond au besoin de ''valoriser les compétences des membres et de les rendre compétitives, tant au niveau national qu’international''.
D’après sa présidente Fatoumata Fall, le réseau a pour but « d’apporter un appui considérable à ses membres dans le cadre de la recherche de financement, du renforcement de leurs capacités et du développement de leurs activités ».