Le secteur de l’entreprenariat féminin veut bénéficier d’avantage de l’appui des Partenaires techniques et financiers (Ptf). Ses acteurs l’ont fait savoir hier, jeudi 17 février à Dakar. C’était dans le cadre d’un atelier préparatoire au second forum sur le développement de l’entreprenariat féminin en Afrique, tenu hier, jeudi 17 février à Dakar par le bureau sous régional de l’Organisation international du travail (Oit).
La directrice de l’entreprenariat féminin, Marième Cissé Thiam, a ouvert le bal du plaidoyer. A son avis, il y a certes des initiatives qui sont menées en faveur des Petites et moyennes entreprises (Pme) mais il faut plus d’appui pour l’entreprenariat féminin. « Il est temps que les bailleurs s’investissent dans l’entreprenariat féminin ». Elle appelle ainsi à renforcer les initiatives comme le fonds d’entreprenariat féminin afin qu’elles soient prises en compte dans la politique économique du Sénégal actuellement en élaboration. Cette idée épouse certaines émises lors du forum sur le développement de l’entreprenariat féminin en Afrique tenu en 2009 au Caire (Egypte). Cette dernière rencontre qui était placée sous le thème : « Le développement économique de la femme en réponse à la crise économique et financière mondiale », avait conduit à l’adoption de la Plateforme d’action du Caire pour le développement de l’entreprenariat féminin. Un des principaux résultats du forum a été la proposition de mettre en place un Fonds de soutien à l’entreprenariat féminin en Afrique (Wefa) qui devrait être officiellement lancé lors du second forum prévu cette année.
L’atelier de Dakar, hier, avait pour objectif principal de permettre aux acteurs sénégalais de définir le mode opératoire de ce fonds, d’identifier les points prioritaires à inscrire à l’ordre du jour. Ce qui répond au processus de consultations élargies, engagé par le Bit pour collecter des idées, des points de vue, des suggestions et autres attentes de la part des différentes parties prenantes, quant à la mise sur pieds du Wefa. M. Badiane du Bit, a souligné que cette rencontre de Dakar permet de renforcer la position du Sénégal sur la question de ce fonds africain. Entre autres idées directrices, il a été émis la nécessité de mobiliser la communauté des bailleurs de fonds bilatéraux et multinationaux pour intégrer l’entreprenariat féminin dans leurs politiques et programmes de coopération technique.
Bacary DABO
Sud Quotidien
La directrice de l’entreprenariat féminin, Marième Cissé Thiam, a ouvert le bal du plaidoyer. A son avis, il y a certes des initiatives qui sont menées en faveur des Petites et moyennes entreprises (Pme) mais il faut plus d’appui pour l’entreprenariat féminin. « Il est temps que les bailleurs s’investissent dans l’entreprenariat féminin ». Elle appelle ainsi à renforcer les initiatives comme le fonds d’entreprenariat féminin afin qu’elles soient prises en compte dans la politique économique du Sénégal actuellement en élaboration. Cette idée épouse certaines émises lors du forum sur le développement de l’entreprenariat féminin en Afrique tenu en 2009 au Caire (Egypte). Cette dernière rencontre qui était placée sous le thème : « Le développement économique de la femme en réponse à la crise économique et financière mondiale », avait conduit à l’adoption de la Plateforme d’action du Caire pour le développement de l’entreprenariat féminin. Un des principaux résultats du forum a été la proposition de mettre en place un Fonds de soutien à l’entreprenariat féminin en Afrique (Wefa) qui devrait être officiellement lancé lors du second forum prévu cette année.
L’atelier de Dakar, hier, avait pour objectif principal de permettre aux acteurs sénégalais de définir le mode opératoire de ce fonds, d’identifier les points prioritaires à inscrire à l’ordre du jour. Ce qui répond au processus de consultations élargies, engagé par le Bit pour collecter des idées, des points de vue, des suggestions et autres attentes de la part des différentes parties prenantes, quant à la mise sur pieds du Wefa. M. Badiane du Bit, a souligné que cette rencontre de Dakar permet de renforcer la position du Sénégal sur la question de ce fonds africain. Entre autres idées directrices, il a été émis la nécessité de mobiliser la communauté des bailleurs de fonds bilatéraux et multinationaux pour intégrer l’entreprenariat féminin dans leurs politiques et programmes de coopération technique.
Bacary DABO
Sud Quotidien