Thiès, 6 mai (APS) - Le Réseau pour la promotion économique effective des femmes du Cayor (RECAPEF) a diagnostiqué, jeudi à Thiès, les maux qui gangrènent le développement économique, mettant notamment en exergue la bonne gouvernance organisationnelle.
‘’Ces maux empêchent de développer une bonne gouvernance organisationnelle, d’échanges de partenariat local, de manque de financement, de la conception, d’élaboration, de mise en place de plan formel de marketing d’envergure’’, a expliqué Oumy Thiam Sankharé, la coordonnatrice du réseau.
Mme Sankharé a souligné que les femmes sont confrontées à des difficultés pour valoriser et distribuer leurs productions, regrettant ‘’un déficit de marketing, d’images, de label pour valoir leurs produits’’.
Le lancement du RECAPEF a été présidé jeudi à Thiès par le directeur du commerce intérieur, El Hadj Alioune Diouf en présence des autorités administratives et municipales de la région.
Mme Sankharé a relevé des problèmes de modernisation des produits agricoles alors que des maladies fusent de partout notamment le diabète, l’hypertension artérielle. ‘’Nous voulons moderniser la production agricole à travers l’agriculture biologique’’, a dit la coordonnatrice.
‘’Ce qui fait, a-t-elle expliqué, que deux organisations féminines qui sont dans le bio et qui font partie du réseau des femmes’’.
Oumy Thiam Sankharé a souligné la détermination de son organisation à ‘’s’investir dans la lutte contre les violences faites aux femmes’’ mais aussi à ‘’décomplexer la féminisation de la pauvreté’’.
De plus, Mme Sankharé a annoncé que le réseau va s’intéresser au tourisme.
Le RECAPEF veut aussi promouvoir la santé, a-t-elle dit. Elle a précisé que l’entreprenariat féminin n’est pas en reste, dénonçant les gaspillages lors des cérémonies familiales.
Les principales activités du réseau seront axées sur la formation surtout des personnes vulnérables comme les handicapés, a promis Mme Sankharé.
Un forum sur la planification stratégique, prévu vendredi, mettra fin à cette rencontre.
‘’Ces maux empêchent de développer une bonne gouvernance organisationnelle, d’échanges de partenariat local, de manque de financement, de la conception, d’élaboration, de mise en place de plan formel de marketing d’envergure’’, a expliqué Oumy Thiam Sankharé, la coordonnatrice du réseau.
Mme Sankharé a souligné que les femmes sont confrontées à des difficultés pour valoriser et distribuer leurs productions, regrettant ‘’un déficit de marketing, d’images, de label pour valoir leurs produits’’.
Le lancement du RECAPEF a été présidé jeudi à Thiès par le directeur du commerce intérieur, El Hadj Alioune Diouf en présence des autorités administratives et municipales de la région.
Mme Sankharé a relevé des problèmes de modernisation des produits agricoles alors que des maladies fusent de partout notamment le diabète, l’hypertension artérielle. ‘’Nous voulons moderniser la production agricole à travers l’agriculture biologique’’, a dit la coordonnatrice.
‘’Ce qui fait, a-t-elle expliqué, que deux organisations féminines qui sont dans le bio et qui font partie du réseau des femmes’’.
Oumy Thiam Sankharé a souligné la détermination de son organisation à ‘’s’investir dans la lutte contre les violences faites aux femmes’’ mais aussi à ‘’décomplexer la féminisation de la pauvreté’’.
De plus, Mme Sankharé a annoncé que le réseau va s’intéresser au tourisme.
Le RECAPEF veut aussi promouvoir la santé, a-t-elle dit. Elle a précisé que l’entreprenariat féminin n’est pas en reste, dénonçant les gaspillages lors des cérémonies familiales.
Les principales activités du réseau seront axées sur la formation surtout des personnes vulnérables comme les handicapés, a promis Mme Sankharé.
Un forum sur la planification stratégique, prévu vendredi, mettra fin à cette rencontre.