Dakar, 8 oct (APS) – Une stratégie nationale de développement de l’entreprenariat féminin va être élaborée à partir des résultats des trois études ayant porté sur l’environnement des affaires des femmes entrepreneures, le diagnostic institutionnel, l’évaluation de leurs besoins et les indicateurs nationaux de développement de l’entreprenariat féminin.
Ainsi l’examen de ces trois études, combiné aux recommandations issues de la Plateforme d’action du Caire, permettra de dégager des orientations claires pour la confection du document, a souligné la ministre de l’Entreprenariat féminin et de la Microfinance, Seynabou Ly Mbacké, vendredi lors de l’atelier de restitution de ces études.
Les résultats de ces études entreprises par le ministère en partenariat avec le Bureau international du travail (BIT) fournissent des ‘’outils pour le développement d’une base de connaissances sur les femmes entrepreneures avec un diagnostic institutionnel, d’une part et d’autre part, pour la création d’un environnement favorable aux affaires’’, a-t-elle expliqué.
Selon la ministre, cela va pour une ‘’meilleure compréhension des obstacles d’ordres social, culturel, législatif, réglementaire et économique auxquels sont confrontées les femmes entrepreneures’’.
Pour Mme Mbacké, la stratégie nationale qui sera mise au point va fournir des outils non seulement pour planifier et mettre en œuvre de façon systématique diverses actions visant à développer l’esprit d’entreprises chez les femmes, mais également pour appuyer les femmes entrepreneures plus largement, à moindre coût et à grande échelle.
A cet effet, elle a ‘’apprécié à sa juste valeur les efforts de construction d’une base de données qui permettra de disposer d’éléments d’appréciation quantitative et qualitative de la situation de la femme entrepreneure’’.
En termes de perspectives offertes grâce à cette stratégie, la ministre a évoqué des méthodes qui seront dégagées pour élargir les débouchés commerciaux, améliorer l’accès aux ressources financières et renforcer les compétences en gestion des femmes entrepreneures, mais aussi d’accroître leur autonomie.
Ainsi à l’issue de la rencontre, les niveaux d’intervention et les groupes cibles seront définis pour montrer dans quelle mesure la promotion de l’entreprenariat féminin peut favoriser au mieux l’égalité entre les sexes, la création de richesses et d’emplois et la réduction de la pauvreté.
L’objectif de la rencontre était de partager avec les participants les résultats de ces trois études et les recommandations issues de la Plateforme d’action de Caire avec des parties prenantes du développement de l’entreprenariat féminin.
Ainsi le but est de recueillir leurs suggestions à partir desquelles les grandes orientations d’une politique nationale assortie d’un plan d’action, seront dégagées.
ADL/SAB
Ainsi l’examen de ces trois études, combiné aux recommandations issues de la Plateforme d’action du Caire, permettra de dégager des orientations claires pour la confection du document, a souligné la ministre de l’Entreprenariat féminin et de la Microfinance, Seynabou Ly Mbacké, vendredi lors de l’atelier de restitution de ces études.
Les résultats de ces études entreprises par le ministère en partenariat avec le Bureau international du travail (BIT) fournissent des ‘’outils pour le développement d’une base de connaissances sur les femmes entrepreneures avec un diagnostic institutionnel, d’une part et d’autre part, pour la création d’un environnement favorable aux affaires’’, a-t-elle expliqué.
Selon la ministre, cela va pour une ‘’meilleure compréhension des obstacles d’ordres social, culturel, législatif, réglementaire et économique auxquels sont confrontées les femmes entrepreneures’’.
Pour Mme Mbacké, la stratégie nationale qui sera mise au point va fournir des outils non seulement pour planifier et mettre en œuvre de façon systématique diverses actions visant à développer l’esprit d’entreprises chez les femmes, mais également pour appuyer les femmes entrepreneures plus largement, à moindre coût et à grande échelle.
A cet effet, elle a ‘’apprécié à sa juste valeur les efforts de construction d’une base de données qui permettra de disposer d’éléments d’appréciation quantitative et qualitative de la situation de la femme entrepreneure’’.
En termes de perspectives offertes grâce à cette stratégie, la ministre a évoqué des méthodes qui seront dégagées pour élargir les débouchés commerciaux, améliorer l’accès aux ressources financières et renforcer les compétences en gestion des femmes entrepreneures, mais aussi d’accroître leur autonomie.
Ainsi à l’issue de la rencontre, les niveaux d’intervention et les groupes cibles seront définis pour montrer dans quelle mesure la promotion de l’entreprenariat féminin peut favoriser au mieux l’égalité entre les sexes, la création de richesses et d’emplois et la réduction de la pauvreté.
L’objectif de la rencontre était de partager avec les participants les résultats de ces trois études et les recommandations issues de la Plateforme d’action de Caire avec des parties prenantes du développement de l’entreprenariat féminin.
Ainsi le but est de recueillir leurs suggestions à partir desquelles les grandes orientations d’une politique nationale assortie d’un plan d’action, seront dégagées.
ADL/SAB