La réforme constitutionnelle d’avril 2024, qui a permis à l’ex-président Faure Gnassingbé d’obtenir la présidence du conseil, sans limitation de mandat, avait provoqué une vague de contestation au printemps. Face à la dureté de la répression du gouvernement, les opposants ont cessé leur mobilisation.
Source : https://www.lemonde.fr/afrique/article/2025/12/10/...
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Au Togo, une répression silencieuse étouffe les voix dissidentes












