Coup de gueule - Le malheur est plus rémunérateur pour les médias et ce principe est effectivement décrit dans toutes les écoles de journalisme comme l’a révélé Gilles Bouleau.

Par Jean-François HUREL



Les journalistes nous rebattent les oreilles avec leur soit disant diagnostic démontrant que la société est violente à cause de l’abaissement des valeurs morales et sociales, certes.
Et si nous faisions l’hypothèse qu’à côté d’un possible abaissement des valeurs ce serait son utilisation par des politiques sans programme et sans scrupule qui, avec des médias complaisants et des réseaux sociaux mal contrôlés, seraient à l’origine de cette société râleuse et violente ?
La majorité silencieuse qui n’a pas sa place pour s’exprimer et montrer une autre image de la France n’intéresse pas ces médias et ces politiques !
Le malheur est plus rémunérateur pour les médias et ce principe est effectivement décrit dans toutes les écoles de journalisme comme l’a révélé Gilles Bouleau.
Marshall Rosenberg, psychologue clinicien américain a écrit « Les mots sont des fenêtres ou des murs ». Aujourd’hui la communication nous enferme dans le malheur et les mauvaises nouvelles !
Ouvrons les fenêtres pour évacuer ce climat putride en éteignant notamment la télé de CNEWS et BFM, des chaînes populistes vivant du malheur et de la violence initiés par quelques uns !
Et faisons la même chose avec les chaînes généralistes lorsqu’elles tombent dans ce travers pour rester dans la course à l’audience !

Jean François HUREL
https://www.facebook.com/jeanfrancois.hurel.3

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