La Fédération internationale des sociétés de la Croix-rouge et du croissant-rouge, zone Afrique de l’Ouest et du Centre organise un atelier sur la gestion des risques climatiques. Cette rencontre de trois jours (13-16) permettra aux participants d’échanger sur les voies et moyens de réduire ces catastrophes.
Réduire l’impact des catastrophes sur les populations de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, tel est l’objectif visé par l’atelier du mouvement de la Croix-rouge et du Croissant-rouge. Cette rencontre de trois jours (13-16), a enregistré la présence d’organisations sous-régionales et internationales de la climatologie. Aujourd’hui, grâce aux avancées technologiques dans le domaine de la météorologie et au partenariat, il est possible d’anticiper sur ces évènements et d’atténuer leurs impacts, a déclaré M. Youcef, coordinateur de la gestion des catastrophes à la Fédération internationale de la Croix-rouge à Dakar.
Le mouvement de la Croix-rouge et du Croissant-rouge, soutient le coordonnateur, a toujours aidé les communautés à se prendre en charge. C’est tout le sens de cet atelier qui, selon lui, permettra aux participants d’échanger leurs expériences sur les questions liées aux préventions des catastrophes provoquées par les changements climatiques. De plus, l’utilisation des outils de gestion des risques climatiques, notamment dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage et de la santé sera au centre de la réflexion.
Dans son exposé, le coordonnateur a informé que de brusques changements climatiques peuvent créer des inondations, d’importantes perturbations, des préjudices et décès, s’il n’existe pas un système d’alerte et de prévention. Ses propos cadrent avec ceux d’Alasan Senghore, chef de la zone Afrique de l’Ouest et du Centre de la Fédération internationale de la Croix-rouge. Pour lui, il est nécessaire de connaître que les risques qui accompagnent les changements climatiques ne doivent pas uniquement être gérés par les gouvernements.
« Notre rôle en tant que société, c’est d’épauler nos gouvernements dans la lutte contre ces phénomènes qui constituent un danger permanent. L’exemple des inondations vécues par les populations de la banlieue de Dakar, n’est la faute de personne. Ce sont les changements climatiques qui sont à l’origine de ces inondations. Il y a des variabilités climatiques que le gouvernement seul ne peut pas gérer. C’est pourquoi, les Africains doivent s’unir pour trouver une réponse à cette question », a-t-il plaidé.
Selon Sylwia Trzaska, représentante de l’International research institute for climate and society (Iri), le changement climatique ce n’est pas uniquement une augmentation de la température. Il peut se traduire aussi par un changement dans la fréquence des évènements extérieurs. Par exemple, de très fortes précipitations qui causent des inondations ou alors des périodes de sécheresses intenses. Une telle situation, selon elle, change des endroits propices à la vie des hommes.
Le Soleil
Réduire l’impact des catastrophes sur les populations de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, tel est l’objectif visé par l’atelier du mouvement de la Croix-rouge et du Croissant-rouge. Cette rencontre de trois jours (13-16), a enregistré la présence d’organisations sous-régionales et internationales de la climatologie. Aujourd’hui, grâce aux avancées technologiques dans le domaine de la météorologie et au partenariat, il est possible d’anticiper sur ces évènements et d’atténuer leurs impacts, a déclaré M. Youcef, coordinateur de la gestion des catastrophes à la Fédération internationale de la Croix-rouge à Dakar.
Le mouvement de la Croix-rouge et du Croissant-rouge, soutient le coordonnateur, a toujours aidé les communautés à se prendre en charge. C’est tout le sens de cet atelier qui, selon lui, permettra aux participants d’échanger leurs expériences sur les questions liées aux préventions des catastrophes provoquées par les changements climatiques. De plus, l’utilisation des outils de gestion des risques climatiques, notamment dans les domaines de l’agriculture, de l’élevage et de la santé sera au centre de la réflexion.
Dans son exposé, le coordonnateur a informé que de brusques changements climatiques peuvent créer des inondations, d’importantes perturbations, des préjudices et décès, s’il n’existe pas un système d’alerte et de prévention. Ses propos cadrent avec ceux d’Alasan Senghore, chef de la zone Afrique de l’Ouest et du Centre de la Fédération internationale de la Croix-rouge. Pour lui, il est nécessaire de connaître que les risques qui accompagnent les changements climatiques ne doivent pas uniquement être gérés par les gouvernements.
« Notre rôle en tant que société, c’est d’épauler nos gouvernements dans la lutte contre ces phénomènes qui constituent un danger permanent. L’exemple des inondations vécues par les populations de la banlieue de Dakar, n’est la faute de personne. Ce sont les changements climatiques qui sont à l’origine de ces inondations. Il y a des variabilités climatiques que le gouvernement seul ne peut pas gérer. C’est pourquoi, les Africains doivent s’unir pour trouver une réponse à cette question », a-t-il plaidé.
Selon Sylwia Trzaska, représentante de l’International research institute for climate and society (Iri), le changement climatique ce n’est pas uniquement une augmentation de la température. Il peut se traduire aussi par un changement dans la fréquence des évènements extérieurs. Par exemple, de très fortes précipitations qui causent des inondations ou alors des périodes de sécheresses intenses. Une telle situation, selon elle, change des endroits propices à la vie des hommes.
Le Soleil