C’était pour voir surtout avec les partenaires communautaires à la base, les nouvelles méthodes qu’il convient aujourd’hui d’adopter pour que l’alimentation dans le milieu scolaire ne soit plus un danger pour l’environnement. Une manière de suivre le thème retenu cette année dans l’édition de la journée mondiale des Nations Unies, mais aussi de sensibiliser et lutter contre les multiples agressions dégradant progressivement notre système environnemental partout dans les villes comme dans les villages.
C’est le cas avec les exploitations abusives de nos forêts et l’utilisation massive du bois de chauffe dans les foyers sénégalais. Depuis plusieurs années et d’après des études menées en direction des facteurs bloquant le cadre environnemental, le Sénégal a perdu tous les ans d’importantes espaces du fait d’une érosion quasi-progressive dont l’homme est l’auteur principal en dépit des autres effets naturels. Ainsi avec l’appui de ses partenaires locaux, le Programme alimentaire mondiale est présentement dans une dynamique de doter aux 1200 cantines d’établissements scolaires des foyers améliorés.
Selon Emery Kabugi, directeur de l’antenne régional du Pam à Kaolack, « l’organisation des Nations Unies fait tout son possible pour réagir, pour s’attaquer aux grands problèmes et prendre le recul nécessaire. Nous sommes en train de forger un multilatéralisme inédit qui pourra déboucher sur des résultats concrets pour tous et ceux qui sont le plus dans le besoin », a t-il indiqué. Il a ajouté cependant qu’« en cette journée des Nations Unies, nous devons tous prendre la résolution de redoubler les efforts pour le compte de ceux ou celles qui sont vulnérables, impuissants et sans défense », a t-il également poursuivi.
Sud Quotidien
C’est le cas avec les exploitations abusives de nos forêts et l’utilisation massive du bois de chauffe dans les foyers sénégalais. Depuis plusieurs années et d’après des études menées en direction des facteurs bloquant le cadre environnemental, le Sénégal a perdu tous les ans d’importantes espaces du fait d’une érosion quasi-progressive dont l’homme est l’auteur principal en dépit des autres effets naturels. Ainsi avec l’appui de ses partenaires locaux, le Programme alimentaire mondiale est présentement dans une dynamique de doter aux 1200 cantines d’établissements scolaires des foyers améliorés.
Selon Emery Kabugi, directeur de l’antenne régional du Pam à Kaolack, « l’organisation des Nations Unies fait tout son possible pour réagir, pour s’attaquer aux grands problèmes et prendre le recul nécessaire. Nous sommes en train de forger un multilatéralisme inédit qui pourra déboucher sur des résultats concrets pour tous et ceux qui sont le plus dans le besoin », a t-il indiqué. Il a ajouté cependant qu’« en cette journée des Nations Unies, nous devons tous prendre la résolution de redoubler les efforts pour le compte de ceux ou celles qui sont vulnérables, impuissants et sans défense », a t-il également poursuivi.
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