Dakar, 4 mars (APS) – La dégradation des terres constitue aujourd’hui ''une sérieuse menace’’ sur les ressources agricoles, pastorales et forestières, avec pour conséquence ‘’un véritable mouvement migratoire des populations’’, a déclaré lundi à Dakar l’adjoint au Directeur des eaux et forêts, le colonel Aliou Diouf.
‘’Le phénomène de dégradation des terres constitue aujourd’hui une contrainte majeure au développement économique et social du pays, faisant peser une sérieuse menace sur les ressources agricoles, pastorales et forestières, engendrant ainsi un véritable mouvement migratoire des populations’’, a-t-il indiqué.
Le colonel Diouf présidait l’ouverture d’un atelier d’échanges de deux jours, sur l’élaboration de la Stratégie de la gestion durable des terres au Sénégal et la validation du rapport du Programme national d’action pour la lutte contre la désertification (PAN/LCD).
D’une durée de deux jours, la rencontre a enregistré la participation de plusieurs experts ainsi que de nombreux directeurs nationaux
‘’Le phénomène de dégradation des terres constitue aujourd’hui une contrainte majeure au développement économique et social du pays, faisant peser une sérieuse menace sur les ressources agricoles, pastorales et forestières, engendrant ainsi un véritable mouvement migratoire des populations’’, a-t-il indiqué.
Le colonel Diouf présidait l’ouverture d’un atelier d’échanges de deux jours, sur l’élaboration de la Stratégie de la gestion durable des terres au Sénégal et la validation du rapport du Programme national d’action pour la lutte contre la désertification (PAN/LCD).
D’une durée de deux jours, la rencontre a enregistré la participation de plusieurs experts ainsi que de nombreux directeurs nationaux
Face aux participants, le colonel Diouf a souligné l’’’urgente nécessité à mettre en œuvre des stratégies concertées et opérationnelles en vue de juguler ce phénomène’’.
‘’Aujourd’hui, au moment où la pression s’intensifie sur les ressources naturelles, nous assistons à un déficit de plus en plus accentué dans le financement de la gestion des terres et l’environnement’’, a-t-il noté.
‘’Aujourd’hui, il n’est nullement besoin de démontrer que la prise d’initiatives dans ce domaine reste relativement très timide ; d’où la nécessité d’intensifier la réflexion’’, a poursuivi le colonel Diouf.
SG/ASG
‘’Aujourd’hui, au moment où la pression s’intensifie sur les ressources naturelles, nous assistons à un déficit de plus en plus accentué dans le financement de la gestion des terres et l’environnement’’, a-t-il noté.
‘’Aujourd’hui, il n’est nullement besoin de démontrer que la prise d’initiatives dans ce domaine reste relativement très timide ; d’où la nécessité d’intensifier la réflexion’’, a poursuivi le colonel Diouf.
SG/ASG