Pour un montant de 160 millions de FCfa sur une durée totale de 5 ans, 20 ha vont être reboisés à Fadiouth pour régénérer la mangrove. La cérémonie de lancement a eu lieu samedi dernier, dans l’île aux Coquillages.
Ce projet va permettre une meilleure exploitation de la mangrove et un renforcement des capacités d’exploitation de la population de Joal Fadiouth. Il a été réalisé en partenariat avec le haut conseil des lignées maternelles de Fadiouth. Le rôle socioéconomique et écologique de la mangrove, a souligné Pierre Dioh, adjoint au maire, est une réalité. En effet, elle contribue directement aux moyens d’existence ruraux en fournissant des produits ligneux et non ligneux. Le conseiller n° 1 du ministère de l’Environnement, Ndiawar Dieng, a souligné que les mangroves constituent un écosystème particulier qui procure des ressources importantes (forestières et halieutiques) pour les populations de la côte. De l’avis de Ndiawar Dieng, restaurer la mangrove dans les zones dégradées sur un total de 20 ha revient à protéger le littoral, assainir le cadre de vie des populations, appuyer les activités de transformation des produits halieutiques.
Ce programme porteur de développement au bénéfice des populations vient conforter l’engagement de l’entreprise Total Sénégal. Son Directeur général, Bruno Vincent, a affirmé, lors de la cérémonie de lancement, que le projet a été rendu possible grâce à un financement tripartite : 79 millions de la Fondation Total, 47 millions du Comité de parrainage Afrique Moyen-Orient de Total et 34 millions de Total Sénégal.
Amath Sigui NDIAYE
Le Soleil
Ce projet va permettre une meilleure exploitation de la mangrove et un renforcement des capacités d’exploitation de la population de Joal Fadiouth. Il a été réalisé en partenariat avec le haut conseil des lignées maternelles de Fadiouth. Le rôle socioéconomique et écologique de la mangrove, a souligné Pierre Dioh, adjoint au maire, est une réalité. En effet, elle contribue directement aux moyens d’existence ruraux en fournissant des produits ligneux et non ligneux. Le conseiller n° 1 du ministère de l’Environnement, Ndiawar Dieng, a souligné que les mangroves constituent un écosystème particulier qui procure des ressources importantes (forestières et halieutiques) pour les populations de la côte. De l’avis de Ndiawar Dieng, restaurer la mangrove dans les zones dégradées sur un total de 20 ha revient à protéger le littoral, assainir le cadre de vie des populations, appuyer les activités de transformation des produits halieutiques.
Ce programme porteur de développement au bénéfice des populations vient conforter l’engagement de l’entreprise Total Sénégal. Son Directeur général, Bruno Vincent, a affirmé, lors de la cérémonie de lancement, que le projet a été rendu possible grâce à un financement tripartite : 79 millions de la Fondation Total, 47 millions du Comité de parrainage Afrique Moyen-Orient de Total et 34 millions de Total Sénégal.
Amath Sigui NDIAYE
Le Soleil