Vélingara : l'USADF appuie un GIE de femmes dans des activités génératrices de revenus
Vélingara, 5 mars (APS) - La Fondation des Etats-Unis pour le développement en Afrique (USADF, sigle en anglais) a octroyé un financement de plus 40,7 millions de francs CFA aux femmes du GIE Yani Guibandia, pour la réalisation d’activités génératrices de revenus.
‘’C’est un ouf de soulagement pour nous femmes qui ne disposions d’aucune ressource financière pour réaliser des activités génératrices de revenus. Aujourd’hui, avec cet appui, nous serons capables de relever des défis’’, a dit à l’APS Maimouna Diatta, présidente du GIE.
Christine Fowles, directrice régionale pour la Fondation des Etats-Unis pour le développement en Afrique, venue visiter le périmètre aménagé par les femmes bénéficiaires, s’est félicitée du travail entamé par les membres du GIE Yani Guibandia.
‘’C’est une satisfaction totale de constater que ces femmes sont engagées pour accroître leurs ressources afin de chasser la faim dans leurs foyers respectifs’’, a-t-elle déclaré.
‘’Notre fondation finance des activités économiques en particulier dans le domaine agricole. Elle tire ses ressources à partir de fonds de citoyens américains qui paient leurs impôts. Donc nous sommes dans l’obligation de veiller sur la transparence dans la gestion de ces fonds’’, a-t-elle lancé aux femmes.
‘’Ce financement n’est pas remboursable. Nous exigeons uniquement des résultats’’ a-t-elle poursuivi.
Démarré en avril 2012, ce projet de lutte contre la pauvreté et la faim va durer 2 ans. Dans sa mise en œuvre, les femmes cultivent diverses spéculations.
‘’Ce sont des spéculations en valeur nutritive (gombo, oseille, haricots, tomates, piment), qui ne sont pas en abondance au Fouladou, que les femmes vont cultiver’’, a expliqué à l’APS, un encadreur en horticulture.
MSM/OID/AD
‘’C’est un ouf de soulagement pour nous femmes qui ne disposions d’aucune ressource financière pour réaliser des activités génératrices de revenus. Aujourd’hui, avec cet appui, nous serons capables de relever des défis’’, a dit à l’APS Maimouna Diatta, présidente du GIE.
Christine Fowles, directrice régionale pour la Fondation des Etats-Unis pour le développement en Afrique, venue visiter le périmètre aménagé par les femmes bénéficiaires, s’est félicitée du travail entamé par les membres du GIE Yani Guibandia.
‘’C’est une satisfaction totale de constater que ces femmes sont engagées pour accroître leurs ressources afin de chasser la faim dans leurs foyers respectifs’’, a-t-elle déclaré.
‘’Notre fondation finance des activités économiques en particulier dans le domaine agricole. Elle tire ses ressources à partir de fonds de citoyens américains qui paient leurs impôts. Donc nous sommes dans l’obligation de veiller sur la transparence dans la gestion de ces fonds’’, a-t-elle lancé aux femmes.
‘’Ce financement n’est pas remboursable. Nous exigeons uniquement des résultats’’ a-t-elle poursuivi.
Démarré en avril 2012, ce projet de lutte contre la pauvreté et la faim va durer 2 ans. Dans sa mise en œuvre, les femmes cultivent diverses spéculations.
‘’Ce sont des spéculations en valeur nutritive (gombo, oseille, haricots, tomates, piment), qui ne sont pas en abondance au Fouladou, que les femmes vont cultiver’’, a expliqué à l’APS, un encadreur en horticulture.
MSM/OID/AD
