Saint-Louis, 10 jan (APS) - Le coordonnateur du processus de réactualisation de la Stratégie nationale et du plan d’action de conservation de la biodiversité (SPNAB), capitaine Lamine Kane, a indexé jeudi à Saint-Louis (Nord) la pauvreté comme élément influent dans la dégradation des écosystèmes.
‘’Dans le delta du fleuve Sénégal, à côté du phénomène des changements climatiques, la pauvreté est un élément qui contribue à la dégradation de l’écosystème’’, a dit le capitaine Kane, en marge d’un atelier consacré à la révision de la SPNAB.
Il fait référence notamment aux actions néfastes des populations sur la forêt et les ressources naturelles pillées en vue d’être vendues pour assurer le quotidien.
D’autres facteurs contribuent à la dégradation de la biodiversité, selon le capitaine Kane. Comme facteurs dégradant pour la biodiversité, il a identifié la salinisation des terres, les érosions éolienne, côtière et hydrique, l’installation des entreprises agro-industrielles.
L'atelier était une occasion pour les parties prenantes installées dans la région de Saint-Louis, de donner leur contribution à ce processus, a expliqué le coordonnateur de la SPNAB. Il a mis l’accent sur la diversité des écosystèmes rencontrés dans cette partie du pays.
‘’A Saint-Louis, nous nous intéressons à la zone éco-géographique du delta du fleuve Sénégal’’, a-t-il précisé. ‘’En plus des causes de perte de biodiversité et leurs conséquences du point de vue du fonctionnement des écosystèmes et sur les espèces, les parties prenantes vont nous aider à élaborer des esquisses de solution.’’
AMD/SAB
‘’Dans le delta du fleuve Sénégal, à côté du phénomène des changements climatiques, la pauvreté est un élément qui contribue à la dégradation de l’écosystème’’, a dit le capitaine Kane, en marge d’un atelier consacré à la révision de la SPNAB.
Il fait référence notamment aux actions néfastes des populations sur la forêt et les ressources naturelles pillées en vue d’être vendues pour assurer le quotidien.
D’autres facteurs contribuent à la dégradation de la biodiversité, selon le capitaine Kane. Comme facteurs dégradant pour la biodiversité, il a identifié la salinisation des terres, les érosions éolienne, côtière et hydrique, l’installation des entreprises agro-industrielles.
L'atelier était une occasion pour les parties prenantes installées dans la région de Saint-Louis, de donner leur contribution à ce processus, a expliqué le coordonnateur de la SPNAB. Il a mis l’accent sur la diversité des écosystèmes rencontrés dans cette partie du pays.
‘’A Saint-Louis, nous nous intéressons à la zone éco-géographique du delta du fleuve Sénégal’’, a-t-il précisé. ‘’En plus des causes de perte de biodiversité et leurs conséquences du point de vue du fonctionnement des écosystèmes et sur les espèces, les parties prenantes vont nous aider à élaborer des esquisses de solution.’’
AMD/SAB