En plus du tourisme de vision, cynégétique, safari photos et culturel, Tambacounda entend diversifier ses produits en incluant le tourisme intégré et le tourisme solidaire. Une option qui a guidé la tenue, en partenariat avec l’Institut de coopération pour le développement en Afrique (Icda) d’un forum régional sur le sujet qui a donné l’occasion aux partenaires impliqués de mettre l’accent sur les échanges qui permettront d’aboutir à une maîtrise et une rationalisation de l’exploitation des retombées de l’écotourisme.
A travers les thèmes sur la problématique de développement local avec un accent sur les potentialités en matière de tourisme et d’écotourisme, femmes et développement local, partenariat de coopération décentralisée entre acteurs locaux du Nord et du Sud et artisanat et culture dans les régions de Tambacounda et Kédougou, il a été surtout question de bonnes pratiques pour une mise en œuvre adéquate d’un développement durable. Pour Henry Dalbies, l’Icda a permis de nouer un partenariat fécond qui a commencé avec l’Ard et le Conseil régional, depuis 1994, ciblant cinq collectivités dans le cadre de la santé et de l’hydraulique. Il était question de l’écotourisme, de la gestion du patrimoine des ressources naturelles comme la réserve de la biosphère qu’est le Parc Niokolo-Koba.
Cette politique de promotion éco-touristique est une occasion rêvée pour mieux gérer les déguerpis de ce patrimoine universel, et l’Icda constitue un outil de développement indispensable. Abdoul Aziz Tandia, au nom du Conseil régional, a dit que malgré l’action conjuguée de l’Etat et des partenaires, le tourisme reste dominé par le balnéaire. Pour le maire Bengaly Kaba, le monde rural est peu concerné par ces filières actuelles du tourisme, alors que la tendance reste de lutter pour la réduction de la pauvreté et du chômage des jeunes suite aux difficultés du secteur agricole. La voix du salut reste la politique de promotion de l’écotourisme, a déclaré Thierno Mamadou Tounkara, secrétaire général du syndicat d’initiatives.
Le Soleil
A travers les thèmes sur la problématique de développement local avec un accent sur les potentialités en matière de tourisme et d’écotourisme, femmes et développement local, partenariat de coopération décentralisée entre acteurs locaux du Nord et du Sud et artisanat et culture dans les régions de Tambacounda et Kédougou, il a été surtout question de bonnes pratiques pour une mise en œuvre adéquate d’un développement durable. Pour Henry Dalbies, l’Icda a permis de nouer un partenariat fécond qui a commencé avec l’Ard et le Conseil régional, depuis 1994, ciblant cinq collectivités dans le cadre de la santé et de l’hydraulique. Il était question de l’écotourisme, de la gestion du patrimoine des ressources naturelles comme la réserve de la biosphère qu’est le Parc Niokolo-Koba.
Cette politique de promotion éco-touristique est une occasion rêvée pour mieux gérer les déguerpis de ce patrimoine universel, et l’Icda constitue un outil de développement indispensable. Abdoul Aziz Tandia, au nom du Conseil régional, a dit que malgré l’action conjuguée de l’Etat et des partenaires, le tourisme reste dominé par le balnéaire. Pour le maire Bengaly Kaba, le monde rural est peu concerné par ces filières actuelles du tourisme, alors que la tendance reste de lutter pour la réduction de la pauvreté et du chômage des jeunes suite aux difficultés du secteur agricole. La voix du salut reste la politique de promotion de l’écotourisme, a déclaré Thierno Mamadou Tounkara, secrétaire général du syndicat d’initiatives.
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