Après avoir espéré tourner l'une des pires pages du quinquennat avec la réforme des retraites, l'exécutif est désormais confronté à la colère suscitée par la mort d'un adolescent tué par un tir de policier après un refus d'obtempérer. "Tout peut déraper très vite et on n'a que peu de leviers d'actions", avance un familier des allées du pouvoir.
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Mort de Nahel: la macronie vit les violences urbaines comme un "tsunami en pleine tête"












