Dakar, 27 mai (APS) – Le Programme ‘’Bajenu Gox’’ favorise le leadership féminin au service de la santé maternelle et infantile avec la promotion des offres et de l’utilisation des services de santé par les communautés, a estimé Dr Aïda Tall Sall, responsable Bureau de la promotion de la santé de la reproduction.
Il s’agit de mettre en exergue le leadership féminin en organisant les femmes en un système de parrainage à partir des groupements et associations.
L’objectif est d’assurer le suivi de la mère pendant la grossesse, l’accouchement et celui du nouveau-né et de l’enfant de moins de 5 ans, a-t-elle expliqué au cours d’une présentation du programme, jeudi au Service nationale de l’éducation et de l’information sur la santé (SNEIPS).
Ainsi à travers ce programme communautaire, les marraines ‘’Bajenu Gox’’ incitent les bénéficiaires à fréquenter les services de santé tout en favorisant l’acceptation de la stratégie par les belles-mères, les grand-mères, les pères et les conjoints, a souligné Dr Tall.
Elle a toutefois indiqué que ces marraines choisies par la communauté en rapport avec le autorités sanitaires de la localité ne sont pas des prestataires soumis au secret médical, n’ont pas de missions d’offres de services, mais elles accompagnent juste les bénéficiaires et stimulent l’utilisation des services de santé.
‘’Elles sont chargées de s’entretenir avec les femmes et leur entourage immédiat en menant si nécessaire des visites à domicile’’, a-t-elle expliqué au cours de sa présentation.
Le programme est une ‘’réponse communautaire avec un clin d’œil à la tradition et le leadership avéré des femmes pour la réduction de la mortalité maternelle néonatale et juvénile, les femmes choisies sont censées incarner un leadership qui doit être mis au profit des populations’’.
Pour Dr Sall, des jalons importants ont été depuis le début en janvier 2009 en termes de structuration du projet avec l’élaboration de documents de référence, des activités menées dans les régions avec des fora d’engagements communautaires où elles promettent de se mettre au service des femmes et des enfants, en présence des populations, des autorités administratives et locales.
A ce plus de 600 ‘’Bajenu Gox’’ ont été orientées en un jour et 570 autres ont été formées en 3 jours, selon le guide de formation dans les régions médicales de Kolda, de Saint-Louis, Thiès et Ziguinchor.
Pour la pérennisation du programme, Dr Aïda Tall Sall a évoqué les défis liées à l’appropriation du programme par es autorités locales, sanitaires et nationales, le défi de son financement, le défi d’identification et le choix des ‘’Bajenu Gox’’.
Elle a signalé que ‘’des critères clairs ont été définis pour être choisies (les femmes) par la communauté’’.
Tenue au Service national d’éducation et d’information sur la santé (SNEIPS), la rencontre avec le chef de la DSR et ses proches collaborateurs était organisée dans le cadre de la première séance des ‘’Jeudis du SNEIPS’’.
Ce rendez-vous a été institué par la direction de la structure pour permettre aux démembrements du ministère de la Santé et de la Prévention d’exposer aux journalistes leurs programmes en cours.
Il s’agit de mettre en exergue le leadership féminin en organisant les femmes en un système de parrainage à partir des groupements et associations.
L’objectif est d’assurer le suivi de la mère pendant la grossesse, l’accouchement et celui du nouveau-né et de l’enfant de moins de 5 ans, a-t-elle expliqué au cours d’une présentation du programme, jeudi au Service nationale de l’éducation et de l’information sur la santé (SNEIPS).
Ainsi à travers ce programme communautaire, les marraines ‘’Bajenu Gox’’ incitent les bénéficiaires à fréquenter les services de santé tout en favorisant l’acceptation de la stratégie par les belles-mères, les grand-mères, les pères et les conjoints, a souligné Dr Tall.
Elle a toutefois indiqué que ces marraines choisies par la communauté en rapport avec le autorités sanitaires de la localité ne sont pas des prestataires soumis au secret médical, n’ont pas de missions d’offres de services, mais elles accompagnent juste les bénéficiaires et stimulent l’utilisation des services de santé.
‘’Elles sont chargées de s’entretenir avec les femmes et leur entourage immédiat en menant si nécessaire des visites à domicile’’, a-t-elle expliqué au cours de sa présentation.
Le programme est une ‘’réponse communautaire avec un clin d’œil à la tradition et le leadership avéré des femmes pour la réduction de la mortalité maternelle néonatale et juvénile, les femmes choisies sont censées incarner un leadership qui doit être mis au profit des populations’’.
Pour Dr Sall, des jalons importants ont été depuis le début en janvier 2009 en termes de structuration du projet avec l’élaboration de documents de référence, des activités menées dans les régions avec des fora d’engagements communautaires où elles promettent de se mettre au service des femmes et des enfants, en présence des populations, des autorités administratives et locales.
A ce plus de 600 ‘’Bajenu Gox’’ ont été orientées en un jour et 570 autres ont été formées en 3 jours, selon le guide de formation dans les régions médicales de Kolda, de Saint-Louis, Thiès et Ziguinchor.
Pour la pérennisation du programme, Dr Aïda Tall Sall a évoqué les défis liées à l’appropriation du programme par es autorités locales, sanitaires et nationales, le défi de son financement, le défi d’identification et le choix des ‘’Bajenu Gox’’.
Elle a signalé que ‘’des critères clairs ont été définis pour être choisies (les femmes) par la communauté’’.
Tenue au Service national d’éducation et d’information sur la santé (SNEIPS), la rencontre avec le chef de la DSR et ses proches collaborateurs était organisée dans le cadre de la première séance des ‘’Jeudis du SNEIPS’’.
Ce rendez-vous a été institué par la direction de la structure pour permettre aux démembrements du ministère de la Santé et de la Prévention d’exposer aux journalistes leurs programmes en cours.