Le Conseil ouest et centre Africain pour la recherche et le développement agricole (Coraf/Wecard) leader d’un groupe de partenaires techniques, pour la mise en œuvre du programme semencier ouest-Africain, a organisé un atelier de 72 heures, financé suite à une requête de la Cedeao à l’Usaid.
La rencontre a réuni les acteurs de la filière semencière de l’Afrique de l’Ouest, les acteurs régionaux et les institutions de recherche agronomiques de l’espace régional. Les discutions ont porté sur la définition d’un plan de travail 2013 afin de s’accorder sur les activités de mise en œuvre de ce programme. Selon le directeur par intérim de l’agriculture et du développement rural de la Cedeao, Alain Sy Traoré, ce projet entre dans le cadre de la politique agricole de la Cedeao notamment son plan d’investissement agricole à travers le règlement de la Cedeao pour la libre circulation et le contrôle de la qualité des semences en Afrique de l’Ouest.
L’impact recherché est très important puisqu’il faut avoir des semences de qualité chez les producteurs à la base.
De l’avis de M. Traoré, les semences interviennent pour plus de 60% dans l’amélioration des rendements agricoles. « Les semences de qualité impactent forcément sur les productions et la productivité de la production agricole », souligne t-il. Les spéculations visées sont particulièrement le maïs, le riz, et le sorgho, du fait de leur consommation à grande échelle dans la sous-région.
Des expériences très importantes sont menées sur le terrain et il fallait se mettre ensemble pour échanger sur les bonnes pratiques et amplifier les résultats attendus, tout en favorisant la synergie et la complémentarité. Le programme couvre les 15 pays de la Cedeao plus le Tchad et la Mauritanie. Pour certaines activités techniques, le Nigéria, le Ghana, le Mali, le Sénégal et le Niger, sont les pays pilotes.
Amath S. NDIAYE
Le Soleil
La rencontre a réuni les acteurs de la filière semencière de l’Afrique de l’Ouest, les acteurs régionaux et les institutions de recherche agronomiques de l’espace régional. Les discutions ont porté sur la définition d’un plan de travail 2013 afin de s’accorder sur les activités de mise en œuvre de ce programme. Selon le directeur par intérim de l’agriculture et du développement rural de la Cedeao, Alain Sy Traoré, ce projet entre dans le cadre de la politique agricole de la Cedeao notamment son plan d’investissement agricole à travers le règlement de la Cedeao pour la libre circulation et le contrôle de la qualité des semences en Afrique de l’Ouest.
L’impact recherché est très important puisqu’il faut avoir des semences de qualité chez les producteurs à la base.
De l’avis de M. Traoré, les semences interviennent pour plus de 60% dans l’amélioration des rendements agricoles. « Les semences de qualité impactent forcément sur les productions et la productivité de la production agricole », souligne t-il. Les spéculations visées sont particulièrement le maïs, le riz, et le sorgho, du fait de leur consommation à grande échelle dans la sous-région.
Des expériences très importantes sont menées sur le terrain et il fallait se mettre ensemble pour échanger sur les bonnes pratiques et amplifier les résultats attendus, tout en favorisant la synergie et la complémentarité. Le programme couvre les 15 pays de la Cedeao plus le Tchad et la Mauritanie. Pour certaines activités techniques, le Nigéria, le Ghana, le Mali, le Sénégal et le Niger, sont les pays pilotes.
Amath S. NDIAYE
Le Soleil