Kaolack, 14 juil (APS) – Les artisans de Kaolack et ceux des régions de Fatick, Kaffrine, Kolda et Thiès, participent depuis jeudi à une réunion dans l’optique d’examiner les voies et moyens de faciliter la commercialisation du métal et leur accès au crédit.
‘’Nous avons réuni à Kaolack les partenaires et les membres d’organisations professionnelles d’artisans pour identifier les écueils au développement de la filière métal qui soutient l’agriculture et l’ensemble des initiatives non agricoles de transformation dans les six régions d’intervention du PROMER’’, a indiqué le responsable de l’antenne centre de Kaolack, Fatick et Thiès, Amath Ly.
Selon lui, ‘’au sortir de cet atelier de Kaolack’’, il est prévu l’élaboration d’’’un plan d’action opérationnel de trois ans’’ qui, dit-il, ‘’permettra de savoir ou mettre les pieds’’.
Le responsable du projet de l’entreprenariat rural souligne qu’il est aussi envisagé de ‘’dégager des axes d’amélioration de la filière métal et d’amener les artisans à prétendre à l’enveloppe d’un milliard mise à la disposition de l’artisanat en général par la BOAD (Banque ouest africaine de développement)’’.
La rencontre de Kaolack permettra d’identifier et de chercher des solutions aux différentes contraintes qui ont entres autres pour noms le manque de structuration et la difficulté d’accès à la matière première. Mais celles-ci ont aussi trait aux produits non standardisés, à la commercialisation, à l’accompagnement dans l’acquisition de matériels lourds, etc.
Le métal, Pape Mamour Diop, consultant en machine agricole, est une filière à fort potentiel et couvre des sous-secteurs comme la mécanique générale et agricole, la construction métallique et la fonderie.
L’activité qui tourne autour doit être appuyée par les pouvoirs publics et les partenaires, notamment pour l’obtention de main d’œuvre de bonne qualité et l’amélioration du niveau d’équipement (postes et groupes de soudure de qualité), a-t-il plaidé.
Les artisans de ce sous-secteur, qui est l’une des filières phares encadrées par le PROMER, doivent travailler dans des ateliers modernes, hygiéniques, sécurisés, suffisamment bien équipés, et être dotés de formation adéquate pour pouvoir concurrencer les usines de construction de matériels agricoles, a souligné M. Diop.
PON/ASG
‘’Nous avons réuni à Kaolack les partenaires et les membres d’organisations professionnelles d’artisans pour identifier les écueils au développement de la filière métal qui soutient l’agriculture et l’ensemble des initiatives non agricoles de transformation dans les six régions d’intervention du PROMER’’, a indiqué le responsable de l’antenne centre de Kaolack, Fatick et Thiès, Amath Ly.
Selon lui, ‘’au sortir de cet atelier de Kaolack’’, il est prévu l’élaboration d’’’un plan d’action opérationnel de trois ans’’ qui, dit-il, ‘’permettra de savoir ou mettre les pieds’’.
Le responsable du projet de l’entreprenariat rural souligne qu’il est aussi envisagé de ‘’dégager des axes d’amélioration de la filière métal et d’amener les artisans à prétendre à l’enveloppe d’un milliard mise à la disposition de l’artisanat en général par la BOAD (Banque ouest africaine de développement)’’.
La rencontre de Kaolack permettra d’identifier et de chercher des solutions aux différentes contraintes qui ont entres autres pour noms le manque de structuration et la difficulté d’accès à la matière première. Mais celles-ci ont aussi trait aux produits non standardisés, à la commercialisation, à l’accompagnement dans l’acquisition de matériels lourds, etc.
Le métal, Pape Mamour Diop, consultant en machine agricole, est une filière à fort potentiel et couvre des sous-secteurs comme la mécanique générale et agricole, la construction métallique et la fonderie.
L’activité qui tourne autour doit être appuyée par les pouvoirs publics et les partenaires, notamment pour l’obtention de main d’œuvre de bonne qualité et l’amélioration du niveau d’équipement (postes et groupes de soudure de qualité), a-t-il plaidé.
Les artisans de ce sous-secteur, qui est l’une des filières phares encadrées par le PROMER, doivent travailler dans des ateliers modernes, hygiéniques, sécurisés, suffisamment bien équipés, et être dotés de formation adéquate pour pouvoir concurrencer les usines de construction de matériels agricoles, a souligné M. Diop.
PON/ASG