Dakar, 18 nov (APS) – La directrice adjointe de l’Organisation internationale des migrations (OIM), le professeur Ndioro Ndiaye a loué, mercredi à Dakar, le rôle des femmes migrantes, estimant que celles-ci peuvent améliorer ‘’d’un certaine manière’’, la gestion de la sécurité nationale dans les pays en développement.
‘’Les femmes migrantes sont des germes de changements ; elles peuvent améliorer d’une certaine manière la gestion de la sécurité nationale des pays en voie de développement’’, a-t-elle soutenu à l’ouverture d’un symposium dont elle est la marraine.
‘’Les femmes devraient être recommandées à des postes de décisions’’, puisque même si leurs envoies d’argent ne sont pas conséquents, ils sont réguliers et donc permettent de résoudre ‘’beaucoup de problèmes liés à la survie’’.
Ndioro Ndiaye faisait un exposé sur le thème ‘’Migration : politique de développement et objectif de développement pour le millénaire’’, dans le cadre d’un symposium de l’Institut de population, développement et santé de la reproduction (IPDSR).
Selon la directrice adjointe de l’OIM, cet événement est ‘’utile et nécessaire pour nos pays dans la problématique de la gestion des migrations’’. Ndioro Ndiaye s’est réjouie, au passage, de la présence des partenaires au développement à cette rencontre.
La migration, est ‘’un important phénomène’’ dont les pertes de ressources ‘’handicapent les pays d’origine’’, a poursuivi Ndioro Ndiaye, en rappelant que les principales causes de ce phénomène sont liées notamment à l’instabilité politique et à la crise économique.
Abordant le sujet de la ‘’contribution potentielle des migrants à l’achèvement des Objectifs du millénaire (OMD), la directrice adjointe de l’OIM a laissé entendre que ces derniers pouvaient participer, à travers leurs différentes actions, à l’éradication de l’extrême pauvreté et de la faim.
Mais pour cela, il faut que ‘’les rémittences des migrants soient utilisées à bon escient’’, permettant aux familles pauvres d’investir dans l’éducation et la santé ainsi que dans le développement des affaires nationales.
‘’Ces rémittences peuvent contribuer au financement d’infrastructures locales à condition que les migrants soient considérés comme de véritables investisseurs’’, a dit le professeur Ndioro Ndiaye.
‘’Les femmes migrantes sont des germes de changements ; elles peuvent améliorer d’une certaine manière la gestion de la sécurité nationale des pays en voie de développement’’, a-t-elle soutenu à l’ouverture d’un symposium dont elle est la marraine.
‘’Les femmes devraient être recommandées à des postes de décisions’’, puisque même si leurs envoies d’argent ne sont pas conséquents, ils sont réguliers et donc permettent de résoudre ‘’beaucoup de problèmes liés à la survie’’.
Ndioro Ndiaye faisait un exposé sur le thème ‘’Migration : politique de développement et objectif de développement pour le millénaire’’, dans le cadre d’un symposium de l’Institut de population, développement et santé de la reproduction (IPDSR).
Selon la directrice adjointe de l’OIM, cet événement est ‘’utile et nécessaire pour nos pays dans la problématique de la gestion des migrations’’. Ndioro Ndiaye s’est réjouie, au passage, de la présence des partenaires au développement à cette rencontre.
La migration, est ‘’un important phénomène’’ dont les pertes de ressources ‘’handicapent les pays d’origine’’, a poursuivi Ndioro Ndiaye, en rappelant que les principales causes de ce phénomène sont liées notamment à l’instabilité politique et à la crise économique.
Abordant le sujet de la ‘’contribution potentielle des migrants à l’achèvement des Objectifs du millénaire (OMD), la directrice adjointe de l’OIM a laissé entendre que ces derniers pouvaient participer, à travers leurs différentes actions, à l’éradication de l’extrême pauvreté et de la faim.
Mais pour cela, il faut que ‘’les rémittences des migrants soient utilisées à bon escient’’, permettant aux familles pauvres d’investir dans l’éducation et la santé ainsi que dans le développement des affaires nationales.
‘’Ces rémittences peuvent contribuer au financement d’infrastructures locales à condition que les migrants soient considérés comme de véritables investisseurs’’, a dit le professeur Ndioro Ndiaye.