Au Sénégal, cette manne, destinée à financer le développement de filières agricoles, contribuera selon le communiqué du Fonds international pour le développement de l’agriculture (Fida), «à lutter contre l’augmentation de la pauvreté rurale dans le bassin arachidier du pays». Ces fonds permettront de mettre en place un projet destiné aux petits exploitants afin de les aider «à mieux faire entendre leur voix dans le processus décisionnel à l’échelon régional et national». L’objectif étant d’assurer de meilleures conditions de commercialisation pour des excédents plus importants et une amélioration des termes de l’échange pour les petits producteurs explique le Fida. De plus, ce financement vise à assurer une utilisation plus durable des ressources naturelles et à travers la promotion de contrats de production/achat, d’aider les organisations de paysans à s’assurer un meilleur accès aux marchés pour une répartition équitable des bénéfices dans toutes les filières.
Le bassin arachidier, situé au centre du pays, a été particulièrement touché par le démantèlement de la filière arachidière au Sénégal. Et constate le Fida, malgré l’ouverture de nouveaux marchés, la plupart des petits exploitants sont incapables d’y prendre pied. En effet, écrit le Fida dans son communiqué, «l’affaissement prolongé des cours mondiaux de l’arachide, la dégradation constante des terres et le changement climatique ont contribué à un déclin économique régulier de la région».
Le Quotidien
Le bassin arachidier, situé au centre du pays, a été particulièrement touché par le démantèlement de la filière arachidière au Sénégal. Et constate le Fida, malgré l’ouverture de nouveaux marchés, la plupart des petits exploitants sont incapables d’y prendre pied. En effet, écrit le Fida dans son communiqué, «l’affaissement prolongé des cours mondiaux de l’arachide, la dégradation constante des terres et le changement climatique ont contribué à un déclin économique régulier de la région».
Le Quotidien