Thiès, 10 sept (APS) – Les acteurs pour la gestion des ressources environnementales de la région s’activent autour de l’élaboration d’un plan d’action pour sauvegarder le Plateau de Thiès a fait savoir, jeudi, Abdourahmane Samoura, vice-président de la commission chargée de l’environnement à la mairie de Thiès.
M. Samoura a expliqué, au cours d’une rencontre, que le Plateau de Thiès occupe une position stratégique surtout au niveau des régions de Dakar et de Thiès.
‘’Sur le plan économique, hydrologique, économique, cela joue un rôle très important’’ a t- il dit, ajoutant que beaucoup de problèmes sont rencontrés aux environs de ces deux régions du fait simplement de la dégradation avancée de l’écosystème que constituent le Plateau de Thiès et ses massifs.
M. Samoura a indiqué que ce plan d’action élaboré devra être validé par les acteurs du Plateau de Thiès. ‘’Nous nous sommes constitués en acteurs du Plateau de Thiès qui regroupe les collectivités locales, les organisations non gouvernementales (ONG), la société civile et les services techniques qui interviennent dans la zone’’.
Il a également fait état d’un projet de plan d’action qui tourne autour de quelques axes majeurs. ‘’Il s’agit de la mise en place d’une structure pérenne qui va piloter les actions qui vont être menées dans la zone mais aussi une sensibilisation des différents intervenants en jouant un rôle de plaidoyer sur le phénomène de dégradation du Plateau’’, a-t-il expliqué.
En outre, il est prévu de poursuivre les études qui ont déjà été menées dans la zone et de développer un programme de formation des acteurs. ‘’Quand il faut sensibiliser, il faut définir et maîtriser ces concepts’’, a dit l’environnementaliste.
C’est pourquoi, a-t-il ajouté, il faut renforcer les capacités des acteurs sur le plan de la décentralisation et de la gestion des ressources naturelles et dans d’autres thèmes qui seront identifiés. ‘’Un groupe de travail va se pencher sur cela et proposera quelque chose dans un délai de six mois’’, a indiqué Abdourahmane Samoura.
Selon lui, la collaboration entre acteurs repose sur trois axes, à l’échelle d’une même collectivité, d’un même bassin versant et à l’échelle de l’ensemble du plateau.
Pour ce dernier niveau, a souligné M. Samoura, l’approche thématique est privilégiée et plusieurs thèmes sont suggérés. Selon lui, il s’agit de l’agriculture durable, de l’hydrologie et la restauration des sols et couvert végétal, du foncier et de l’économie locale.
Des groupes thématiques comme celui de l’agriculture durable sont en voie d’installation. ‘’Le comité de gestion provisoire s’emploiera à les aider à mieux se structurer, à mieux définir leurs orientations et leurs axes de travail et à mieux les conduire’’, a fait savoir Abdourahmane Samoura.
M. Samoura a expliqué, au cours d’une rencontre, que le Plateau de Thiès occupe une position stratégique surtout au niveau des régions de Dakar et de Thiès.
‘’Sur le plan économique, hydrologique, économique, cela joue un rôle très important’’ a t- il dit, ajoutant que beaucoup de problèmes sont rencontrés aux environs de ces deux régions du fait simplement de la dégradation avancée de l’écosystème que constituent le Plateau de Thiès et ses massifs.
M. Samoura a indiqué que ce plan d’action élaboré devra être validé par les acteurs du Plateau de Thiès. ‘’Nous nous sommes constitués en acteurs du Plateau de Thiès qui regroupe les collectivités locales, les organisations non gouvernementales (ONG), la société civile et les services techniques qui interviennent dans la zone’’.
Il a également fait état d’un projet de plan d’action qui tourne autour de quelques axes majeurs. ‘’Il s’agit de la mise en place d’une structure pérenne qui va piloter les actions qui vont être menées dans la zone mais aussi une sensibilisation des différents intervenants en jouant un rôle de plaidoyer sur le phénomène de dégradation du Plateau’’, a-t-il expliqué.
En outre, il est prévu de poursuivre les études qui ont déjà été menées dans la zone et de développer un programme de formation des acteurs. ‘’Quand il faut sensibiliser, il faut définir et maîtriser ces concepts’’, a dit l’environnementaliste.
C’est pourquoi, a-t-il ajouté, il faut renforcer les capacités des acteurs sur le plan de la décentralisation et de la gestion des ressources naturelles et dans d’autres thèmes qui seront identifiés. ‘’Un groupe de travail va se pencher sur cela et proposera quelque chose dans un délai de six mois’’, a indiqué Abdourahmane Samoura.
Selon lui, la collaboration entre acteurs repose sur trois axes, à l’échelle d’une même collectivité, d’un même bassin versant et à l’échelle de l’ensemble du plateau.
Pour ce dernier niveau, a souligné M. Samoura, l’approche thématique est privilégiée et plusieurs thèmes sont suggérés. Selon lui, il s’agit de l’agriculture durable, de l’hydrologie et la restauration des sols et couvert végétal, du foncier et de l’économie locale.
Des groupes thématiques comme celui de l’agriculture durable sont en voie d’installation. ‘’Le comité de gestion provisoire s’emploiera à les aider à mieux se structurer, à mieux définir leurs orientations et leurs axes de travail et à mieux les conduire’’, a fait savoir Abdourahmane Samoura.