LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ : Plus de 1.000 prestataires de services formés
Le Groupe consultatif d’assistance aux pauvres (Cgap) a formé plus de 8.000 Africains dont 1.380 Sénégalais intervenant dans le domaine de la micro finance. La révélation a été faite par sa directrice pour l’Afrique, Mme Jennifer Isern.
C’était au cours d’une rencontre à Dakar, réunissant les acteurs principaux du secteur de la micro finance au Sénégal. Cette formation entre dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de renforcement des capacités en Afrique francophone (Capaf), lancé en janvier 2000 avec le concours du ministère français des Affaires étrangères et l’Usaid. Les bénéficiaires sont pour la plupart des prestataires de service locaux qui démultiplieront la formation dans leurs pays respectifs, a souligné la directrice qui ajoute que cela constitue un jalon important dans la lutte contre la pauvreté. « Les formations offertes visent à faciliter l’accès des institutions de micro finance à des cours pratiques et directement applicables dans le contexte local à moindre coût et à offrir la possibilité aux prestataires de services sélectionnés de rentabiliser leurs activités durablement en acquérant un savoir-faire reconnu », a ajouté la directrice.
Le projet prend fin cette année. Mais la directrice rassure que son Ong va continuer d’intervenir au Sénégal en collaboration avec les institutions intervenant dans la micro finance. Il s’agit, selon elle, « d’accroître l’accès aux services financiers et contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations dans la région ».
Le Soleil
C’était au cours d’une rencontre à Dakar, réunissant les acteurs principaux du secteur de la micro finance au Sénégal. Cette formation entre dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de renforcement des capacités en Afrique francophone (Capaf), lancé en janvier 2000 avec le concours du ministère français des Affaires étrangères et l’Usaid. Les bénéficiaires sont pour la plupart des prestataires de service locaux qui démultiplieront la formation dans leurs pays respectifs, a souligné la directrice qui ajoute que cela constitue un jalon important dans la lutte contre la pauvreté. « Les formations offertes visent à faciliter l’accès des institutions de micro finance à des cours pratiques et directement applicables dans le contexte local à moindre coût et à offrir la possibilité aux prestataires de services sélectionnés de rentabiliser leurs activités durablement en acquérant un savoir-faire reconnu », a ajouté la directrice.
Le projet prend fin cette année. Mais la directrice rassure que son Ong va continuer d’intervenir au Sénégal en collaboration avec les institutions intervenant dans la micro finance. Il s’agit, selon elle, « d’accroître l’accès aux services financiers et contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations dans la région ».
Le Soleil
