La célébration, à Saint-Louis, de la Journée mondiale de lutte contre la pauvreté a été l’occasion pour Babacar Traoré, directeur de Cabinet du ministre de la Famille, de l’entreprenariat féminin et de la micro-finance de préciser que son département a mis en œuvre différents projets et programmes de lutte contre la pauvreté qui ont enregistré des résultats appréciables au profit des populations. C’est le cas de l’Afds, du Plcp, du Parep.
Ces projets et programmes, a-t-il souligné, ont consenti des investissements qui s’élèvent à 23 milliards 457 millions 270.383 FCfa. Une enveloppe financière qui a permis de mettre l’accent sur le renforcement de capacités pour un coût de plus de 3 milliards Cfa, la micro-finance, pour plus de 5 milliards et les infrastructures et équipements pour un coût global de plus de 14 milliards 500 millions Cfa.
D’autres projets et programmes, en cours ou en perspectives, tels que le Rpr/Pnud, contribueront à renforcer ces acquis dans les prochaines années.
Pour toutes ces raisons et au regard de la volonté politique sans cesse réaffirmée du chef de l’Etat, « nous pouvons garder l’espoir quant aux perspectives de développement de notre pays », a laissé entendre M. Traoré.
Auparavant, le Représentant résident du Pnud, Bouri Sanhouidi, a rappelé que la pauvreté est encore présente au Sénégal.
La dernière évaluation du Dsrp2, fondée sur les résultats récents fournis par l’enquête sur la pauvreté au Sénégal, indique que dans notre pays, la proportion d’individus vivant en dessous du seuil de pauvreté, a légèrement baissé, passant de 57,1% en 2001 à 50,6% en 2005.
Cette proportion, selon M. Sanhouidi, reste importante puisqu’il s’agit de plus de 5 millions de Sénégalais qui sont concernés par ce fléau aux dimensions multiformes, se manifestant par une privation de services sociaux de base, de revenus, etc.
La pauvreté, a poursuivi M. Sanhouidi, est d’autant plus injuste qu’elle touche en premier les personnes les plus vulnérables, notamment les enfants et les femmes. Au Sénégal, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans est toujours élevé et se situe à 121 pour 1000. Le taux de mortalité maternelle stagne à 401 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2005.
Le Soleil
Ces projets et programmes, a-t-il souligné, ont consenti des investissements qui s’élèvent à 23 milliards 457 millions 270.383 FCfa. Une enveloppe financière qui a permis de mettre l’accent sur le renforcement de capacités pour un coût de plus de 3 milliards Cfa, la micro-finance, pour plus de 5 milliards et les infrastructures et équipements pour un coût global de plus de 14 milliards 500 millions Cfa.
D’autres projets et programmes, en cours ou en perspectives, tels que le Rpr/Pnud, contribueront à renforcer ces acquis dans les prochaines années.
Pour toutes ces raisons et au regard de la volonté politique sans cesse réaffirmée du chef de l’Etat, « nous pouvons garder l’espoir quant aux perspectives de développement de notre pays », a laissé entendre M. Traoré.
Auparavant, le Représentant résident du Pnud, Bouri Sanhouidi, a rappelé que la pauvreté est encore présente au Sénégal.
La dernière évaluation du Dsrp2, fondée sur les résultats récents fournis par l’enquête sur la pauvreté au Sénégal, indique que dans notre pays, la proportion d’individus vivant en dessous du seuil de pauvreté, a légèrement baissé, passant de 57,1% en 2001 à 50,6% en 2005.
Cette proportion, selon M. Sanhouidi, reste importante puisqu’il s’agit de plus de 5 millions de Sénégalais qui sont concernés par ce fléau aux dimensions multiformes, se manifestant par une privation de services sociaux de base, de revenus, etc.
La pauvreté, a poursuivi M. Sanhouidi, est d’autant plus injuste qu’elle touche en premier les personnes les plus vulnérables, notamment les enfants et les femmes. Au Sénégal, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans est toujours élevé et se situe à 121 pour 1000. Le taux de mortalité maternelle stagne à 401 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2005.
Le Soleil