Une semaine après la célébration de la Journée internationale de la pauvreté, le ministre de la Famille, de la Solidarité nationale, de l’Entreprenariat féminin et de la Microfinance, Awa Ndiaye a lancé officiellement le programme national d’appui à la mise en œuvre de la stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp).
Le programme d’appui au Dsrp a déjà permis, entre autres, la mise en œuvre des phases-pilote de promotion des moyens d’existence durable. En effet pendant les cinq dernières années, à Louga, Saint-Louis, Dagana, Richard-Toll, Podor et Matam. Ledit programme a permis de renforcer les structures de financement au profit des communautés villageoises. C’est ainsi que le Parep a mis en place des lignes de crédit au profit des groupes vulnérables (handicapés, personnes vivant avec le Vih/ Sida) pour la construction et l’équipement des infrastructures communautaires de base dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’hydraulique. Par ailleurs, les populations bénéficient de l’appui à l’insertion des sortants des écoles de formation de l’enseignement technique et de la formation professionnelle. Un financement de 5 millions a été alloué pour ce volet et cinq autres millions ont été dégagés afin de doter les jeunes de moyens financiers et les pousser vers l’auto-emploi par la création des micro entreprises. En outre, une centaine de femmes ont vu leurs capacités renforcées dans le cadre de la gestion des mutuelles d’épargne et de crédit, pour accompagner les promoteurs. Toutes ces réalisations sont jugées positives par les partenaires du ministère de la Famille qui entendent, d’ailleurs, renforcer leur appui au Programme d’appui au Dsrp durant la période 2008 et 2012. Ceci, en vue de contribuer à la promotion de dynamiques locales de développement économique et social et à la bonne gouvernance.
La coordinatrice du Parep laissera entendre que le gouvernement, en plus des infrastructures sanitaires déjà réalisées, a construit des salles de classes et fourni des adductions d’eau potable dans plusieurs villages reculés du pays en plus de l’équipement et de la dotation en médicaments.
Le ministre Awa Ndiaye, prenant la parole, a remercié la société civile, le Congad, les élus locaux et partenaires techniques qui ont tous accepté d’adhérer à ce programme ‘ambitieux’ déclenché par l’Etat pour sortir les populations de leur misère. Et pour accompagner les efforts du gouvernement et mieux atteindre les objectifs du millénaire pour le développement (Omd), en partenariat avec organisations onusiennes et le Luxembourg, l’Etat dans le cadre de ce programme a mis la main à la poche.
Wal Fadjri
Le programme d’appui au Dsrp a déjà permis, entre autres, la mise en œuvre des phases-pilote de promotion des moyens d’existence durable. En effet pendant les cinq dernières années, à Louga, Saint-Louis, Dagana, Richard-Toll, Podor et Matam. Ledit programme a permis de renforcer les structures de financement au profit des communautés villageoises. C’est ainsi que le Parep a mis en place des lignes de crédit au profit des groupes vulnérables (handicapés, personnes vivant avec le Vih/ Sida) pour la construction et l’équipement des infrastructures communautaires de base dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’hydraulique. Par ailleurs, les populations bénéficient de l’appui à l’insertion des sortants des écoles de formation de l’enseignement technique et de la formation professionnelle. Un financement de 5 millions a été alloué pour ce volet et cinq autres millions ont été dégagés afin de doter les jeunes de moyens financiers et les pousser vers l’auto-emploi par la création des micro entreprises. En outre, une centaine de femmes ont vu leurs capacités renforcées dans le cadre de la gestion des mutuelles d’épargne et de crédit, pour accompagner les promoteurs. Toutes ces réalisations sont jugées positives par les partenaires du ministère de la Famille qui entendent, d’ailleurs, renforcer leur appui au Programme d’appui au Dsrp durant la période 2008 et 2012. Ceci, en vue de contribuer à la promotion de dynamiques locales de développement économique et social et à la bonne gouvernance.
La coordinatrice du Parep laissera entendre que le gouvernement, en plus des infrastructures sanitaires déjà réalisées, a construit des salles de classes et fourni des adductions d’eau potable dans plusieurs villages reculés du pays en plus de l’équipement et de la dotation en médicaments.
Le ministre Awa Ndiaye, prenant la parole, a remercié la société civile, le Congad, les élus locaux et partenaires techniques qui ont tous accepté d’adhérer à ce programme ‘ambitieux’ déclenché par l’Etat pour sortir les populations de leur misère. Et pour accompagner les efforts du gouvernement et mieux atteindre les objectifs du millénaire pour le développement (Omd), en partenariat avec organisations onusiennes et le Luxembourg, l’Etat dans le cadre de ce programme a mis la main à la poche.
Wal Fadjri