Le village de Sankouya situé dans le district sanitaire de Sédhiou a abrité le week end dernier une journée d'information communautaire. L'approche est de faire administrer des soins par des stratégies avancées jusque dans les bourgs les plus reculés. C'est à l'initiative de l'ONG « Africare » en appui à la santé communautaire.
Il y’a eu affluence ce week end au village de Sankouya à l’occasion de cette journée d’information communautaire. A en croire l’infirmier chef de poste de Diendé couvrant cette zone de responsabilité, «au-delà de la sensibilisation et de l’information que nous avons menées dans ce village, nous avons également procédé à des consultations générales et gratuites et de la maternité. L’équipe technique s’y est rendue avec tout le réseau des organisations communautaires de base, ce qui nous a permis de faire un véritable travail de sensibilisation avec différents stands. Celui du paludisme, la diarrhée, des infections respiratoires aigues appelées IRA. Les pathologies les plus courantes sont les hypertensions artérielles, les asthénies chez les personnes âgées surtout».
Pour sa part, le coordonnateur de zone de Africare pour le compte du Programme Santé Communautaire USAID 2e phase, relève que «c’est une journée qui informe les populations de la disponibilité des offres de prestations de service à l’endroit des populations pour faire en sorte que les populations des zones reculées puissent accéder aux soins de santé. Et à ce sujet d’ailleurs nous avons initié des «care group» pour améliorer la santé de la reproduction et réduire de fait la mortalité maternelle et infantile» a fait remarquer Kissouma Diédhiou.
Et de poursuivre «Il y’a les cercles de solidarité des femmes enceintes, la stratégie grand-mère, les radio crochets et avec toutes ces informations, nous sommes sûrs de toucher le maximum de cibles. C’est juste rappeler que Africare vise surtout à accompagner les districts et postes de santé dans la prise en charge sanitaire des populations». Les populations bénéficiaires de soins ont témoigné de toute la joie d’accueillir ces équipes de techniciens de la santé sous la conduite de Kissouma Diédhiou qui réaffirme l’engagement de sa coordination nationale à œuvrer pour l’amélioration de la couverture sanitaire en zone reculée. Elles ont à cet effet souhaité que de pareilles mobilisations se passent dans leurs localités à défaut d’y installer systématiquement une structure de santé bien équipée.
Moussa DRAME
Sud Quotidien
Il y’a eu affluence ce week end au village de Sankouya à l’occasion de cette journée d’information communautaire. A en croire l’infirmier chef de poste de Diendé couvrant cette zone de responsabilité, «au-delà de la sensibilisation et de l’information que nous avons menées dans ce village, nous avons également procédé à des consultations générales et gratuites et de la maternité. L’équipe technique s’y est rendue avec tout le réseau des organisations communautaires de base, ce qui nous a permis de faire un véritable travail de sensibilisation avec différents stands. Celui du paludisme, la diarrhée, des infections respiratoires aigues appelées IRA. Les pathologies les plus courantes sont les hypertensions artérielles, les asthénies chez les personnes âgées surtout».
Pour sa part, le coordonnateur de zone de Africare pour le compte du Programme Santé Communautaire USAID 2e phase, relève que «c’est une journée qui informe les populations de la disponibilité des offres de prestations de service à l’endroit des populations pour faire en sorte que les populations des zones reculées puissent accéder aux soins de santé. Et à ce sujet d’ailleurs nous avons initié des «care group» pour améliorer la santé de la reproduction et réduire de fait la mortalité maternelle et infantile» a fait remarquer Kissouma Diédhiou.
Et de poursuivre «Il y’a les cercles de solidarité des femmes enceintes, la stratégie grand-mère, les radio crochets et avec toutes ces informations, nous sommes sûrs de toucher le maximum de cibles. C’est juste rappeler que Africare vise surtout à accompagner les districts et postes de santé dans la prise en charge sanitaire des populations». Les populations bénéficiaires de soins ont témoigné de toute la joie d’accueillir ces équipes de techniciens de la santé sous la conduite de Kissouma Diédhiou qui réaffirme l’engagement de sa coordination nationale à œuvrer pour l’amélioration de la couverture sanitaire en zone reculée. Elles ont à cet effet souhaité que de pareilles mobilisations se passent dans leurs localités à défaut d’y installer systématiquement une structure de santé bien équipée.
Moussa DRAME
Sud Quotidien